Chants scouts
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Étape 1 fil d’Ariane Prépare à l’avance, à l’aide d’une corde, un parcours semé d’obstacles à franchir. Les participants se mettent par deux, l’un sera le guide, l’autre l’aveugle (yeux bandés). L’idéal étant que ce ne soit pas deux copains mis ensemble afin de travailler...
Objectif :
A l’aide de petits jeux, développer un sentiment de confiance dans la relation à l’autre.
Description :
Étape 1
fil d’Ariane
Prépare à l’avance, à l’aide d’une corde, un parcours semé d’obstacles à franchir.
Les participants se mettent par deux, l’un sera le guide, l’autre l’aveugle (yeux bandés).
L’idéal étant que ce ne soit pas deux copains mis ensemble afin de travailler la confiance avec une personne qu’on connait moins.
L’aveugle devra faire l’entièreté du parcours en tenant la corde d’une seule main. Le guide est là pour l’aider à éviter les obstacles.
Pense à échanger les rôles pour que tout le monde puisse faire l’activité.
La toupie
Demande aux participants de former des groupes de six. Dans ces groupes, cinq participants forment un pentagone, se tenant épaule contre épaule, et le sixième se place au centre, pieds joints, bras croisés sur la poitrine, yeux fermés. Lentement, les autres vont le pousser doucement pour qu’il aille dans tous les sens, sans le faire tomber. En tant qu’animateur, veille à bien encadrer chaque groupe.
Étape 2 : L’ultime jeu (5 min)
Les participants se positionnent face à face, en deux lignes distinctes. Ils tendent leurs bras horizontalement. Tour à tour, ils vont courir à travers ce mur de bras, chaque participant levant les bras juste devant celui qui court.
Dès qu’un participant a traversé la Ola, il se place au bout de la file.
Le suivant se prépare et ne part que lorsqu’il est appelé.
Lors de la course, il est important de courir le torse droit, sans crainte de se prendre les mains en pleine figure.
Étape 3 : Moment de partage (10 min)
En petits groupes, propose aux participants de réfléchir aux petits jeux qu’ils viennent de vivre :
Étape 4 : Quelqu’un de confiance (15 min)
Les participants prennent un moment pour réfléchir à une personne de la ribambelle en qui ils ont confiance.
Pense à un copain de la ribambelle en qui tu as vraiment confiance. Ferme les yeux et pense fort à elle. A quel point as-tu confiance ?
Qu’est-ce qui fait que tu as confiance en cette personne ?
Comment est cette personne avec toi ? Que fait-elle ?
En groupe, les participants partagent les raisons pour lesquelles ils ont confiance en la personne sans citer de noms.
Étape 1 : Tester la confiance (35 min) Le jump (Annexe 4.1) Place les participants en deux files en vis-à-vis et en quinconce. Demande à chaque participant de croiser ses bras et de donner la main fermement aux deux personnes face à elle. Quelques participants, après avoir enlevé leurs chaussures pour éviter de blesser quelqu’un, se...
Objectif :
A l’aide de petits jeux, développer un sentiment de confiance dans la relation à l’autre.
Description :
Étape 1 : Tester la confiance (35 min)
Le jump (Annexe 4.1)
Place les participants en deux files en vis-à-vis et en quinconce. Demande à chaque participant de croiser ses bras et de donner la main fermement aux deux personnes face à elle.
Quelques participants, après avoir enlevé leurs chaussures pour éviter de blesser quelqu’un, se lancent dans les bras de ce trampoline humain. Pour les plus courageux : démarrer sur une chaise et se lancer, de dos, dans le trampoline humain (lors du passage, le participant doit avoir les yeux tournés vers le ciel).
Les animateurs les récupèrent de l’autre côté.
La toupie (Annexe 4.2)
Demande aux participants de former des groupes de six. Dans ces groupes, cinq participants forment un pentagone, se tenant épaule contre épaule, et le sixième se place au centre, pieds joints, bras croisés sur le ventre, bien raide et les yeux fermés. Lentement, les autres vont le faire basculer dans tous les sens, sans le faire tomber.
La chute (Annexe 4.3)
Les participants se mettent par groupe de deux. L’un, bras croisés, yeux fermés et pieds joints se laisse tomber en arrière. L’autre se place derrière lui et accompagne le mouvement, sans le toucher puis le rattrape doucement, ni trop vite, ni trop tard.
Étape 2 : Moment de partage (30 min)
Prépare cinq enveloppes et notes-y les questions suivantes :
Divise le groupe en sous-groupes (avec un animateur si possible) et donne-leur une enveloppe. Si le nombre d’éclaireurs nécessite de faire plus de 5 groupes, prévoient une deuxième série d’enveloppes avec les questions.
Les participants ont quelques minutes pour répondre à la question en notant une ou plusieurs idées sur une feuille blanche.
Quand le temps de production est terminé, les feuilles sont glissées dans les enveloppes et celles-ci sont redistribuées à un autre sous-groupe qui alimente la thématique sans regarder ce que contient déjà l’enveloppe.
Les enveloppes passent par un maximum de groupes.
Le dernier groupe dépouille l’enveloppe, retire les doublons et crée une synthèse de la réflexion à présenter au grand groupe.
Étape 3 : Alors, cap ou pas cap ? (10 min)
Les participants doivent évaluer s’ils sont cap ou pas cap de faire les activités/situations suivantes. N’hésite pas à proposer d’autres mises en situation selon ta créativité et la réalité de ta section.
Pas de mains : je n’y vais pas.
Poing tendu : j’y vais seul.
Main doigts écartés : j’y vais si on est en groupe.
Point de réflexion à aborder avec les participants
Même lorsqu’on se sent en confiance, il est important de bien faire faire la distinction, avec les participants, entre :
Se laisser porter par le groupe pour dépasser ses peurs.
&
Se laisser influencer par l’effet de groupe et se mettre en danger.
Attention!
Lorsque les participants répondent aux affirmations, notamment celles où ils sont capables de jouer au lancer de couteau, met un point d’attention à ce niveau-là.
Il est important que les participants ne se mettent pas en danger inutilement. Ce n’est pas parce que tu énonces ces situations qu’ils doivent le faire.
Étape 4 : Une confiance totale (15 minutes)
Attribue un numéro de 1 à 10 à tous les participants. Ceux-ci se promènent dans l’espace en silence. Soudain, tu cries un numéro (toujours de 1 à 10) et les personnes ayant ce numéro s’immobilisent et lèvent les deux mains. Le restant du groupe repère alors les personnes immobilisées et se placent le plus proche possible d’elles. Les personnes portant le numéro cité comptent jusque 10 et quand ils se sentent prêts, ferment les yeux et se laissent tomber en arrière (ou dans n’importe quelle direction), tout en restant raide. Les joueurs qui forment un cercle accueillent son début de chute puis le repoussent en douceur.
Il est important de préciser que toutes les personnes ayant le numéro cité doivent être entourées de minimum 5 personnes avant de se lancer. Les animateurs qui eux n’ont pas reçu de numéro peuvent renforcer le cercle d’accueil.
Réitère l’activité en citant tous les numéros de sorte à ce que tout le monde fasse l’activité.
Maitre-mot de Thuu « Au-delà des apparences, tu mérites ma confiance ». Étape 1 Tester la confiance (35 min) Le jump (Annexe 4.1) : Place les participants en deux files en vis-à-vis et en quinconce. Demande à chaque participant de croiser ses bras et de donner la main fermement aux deux personnes face à elle. Quelques...
Objectif :
A l’aide de petits jeux, développer un sentiment de confiance dans la relation à l’autre.
Description :
Maitre-mot de Thuu
« Au-delà des apparences, tu mérites ma confiance ».
Étape 1 Tester la confiance (35 min)
Le jump (Annexe 4.1) :
Place les participants en deux files en vis-à-vis et en quinconce. Demande à chaque participant de croiser ses bras et de donner la main fermement aux deux personnes face à elle.
Quelques participants, après avoir enlevé leurs chaussures pour éviter de blesser quelqu’un, se lancent dans les bras de ce trampoline humain. Les animateurs les récupèrent de l’autre côté.
Maître-mot de Thuu
Tu peux faire un lien avec le maître-mot de Thuu. Juste avant qu’un enfant se lance dans les bras des autres participants, tous ensemble, chantez, criez : « Au-delà des apparences, tu mérites ma confiance ».
La toupie (Annexe 4.2)
Demande aux participants de former des groupes de six. Dans ces groupes, cinq participants forment un pentagone, se tenant épaule contre épaule, et le sixième se place au centre, pieds joints, bras croisés sur le ventre, yeux fermés. Lentement, les autres vont le faire basculer dans tous les sens, sans le faire tomber.
La chute (Annexe 4.3)
Les participants se mettent par groupe de deux. L’un, bras croisés, yeux fermés et pieds joints se laisse tomber en arrière. L’autre se place derrière lui et accompagne le mouvement, sans le toucher puis le rattrape doucement, ni trop vite, ni trop tard.
Attention à la sécurité des enfants : demande aux enfants de se rassembler selon leur carrure, leur poids pour éviter qu’un enfant ne puisse en rattraper un autre.
Étape 2 L’ultime jeu (5 min)
Les participants se repositionnent comme pour le jeu du « jump ». Cette fois-ci, ils tendent leurs bras horizontalement. Tour à tour, ils vont courir à travers ce mur de bras, chaque participant levant les bras juste devant celui qui court.
Dès qu’un participant a traversé la ola, il se place au bout de la file.
Le suivant se prépare et ne part que lorsqu’il est appelé.
Étape 3 Moment de partage (10 min)
En petits groupes, propose aux participants de réfléchir aux petits jeux qu’ils viennent de vivre :
Étape 4 Quelqu’un de confiance (15 min)
Les participants prennent un moment pour réfléchir à une personne du groupe en qui ils ont confiance.
Pense à un copain de la meute en qui tu as vraiment confiance. Ferme les yeux et pense fort à elle. A quel point tu as confiance ?
Qu’est-ce qui fait que tu as confiance en cette personne ?
Comment est cette personne avec toi ? Que fait-elle ?
En groupe, les participants partagent les raisons pour lesquelles ils ont confiance en la personne, sans citer de noms.
Infos pour l’animateur
Pour chaque activité proposée, veille à la sécurité des participants. Il ne s’agit pas toujours simplement de confiance mais de capacité à rattraper, à porter autrui...
Partis le 27 juin en avion, direction Cluj-Napoca. Nous y sommes restés quelques jours (jusqu'au 2 juillet) pour visiter et aider un refuge pour chien tenu par Maria. De là, nous avons pris le bus pour Borsa (~5h, 10€/personne), ou nous sommes allés loger chez des amis. A Borsa, la commune nous a désigné un guide touristique (période creuse), que nous avons aidé pour baliser le chemin jusqu'au...
Objectif :
Aider dans un refuge pour chien, baliser des sentiers de montagne. Découvrir une autre culture Faire se mélanger les filles et garçons (qui viennent de deux unités différentes bien que les locaux soient voisins)
Description :
Partis le 27 juin en avion, direction Cluj-Napoca. Nous y sommes restés quelques jours (jusqu'au 2 juillet) pour visiter et aider un refuge pour chien tenu par Maria. De là, nous avons pris le bus pour Borsa (~5h, 10€/personne), ou nous sommes allés loger chez des amis. A Borsa, la commune nous a désigné un guide touristique (période creuse), que nous avons aidé pour baliser le chemin jusqu'au sommet du mont Pietrosul. Sorim est super sympa, il nous a donné plein de bon plans :) Nous avons prit le bus le 10 juillet à 4h du matin de Borsa à Cluj pour le retour. Les roumains parlent légèrement français mais souvent ça ne suffit pas à se comprendre sans mimer. En ville presque tout le monde parle anglais mais à Borsa, ce n'est pas toujours le cas A faire : Mont Pietrosul, Horses Waterfall, Happy Cimetery, rencontrer Sorim, aller à la terrasse au dessus de Cluj, goûter les plăcintă, improviser. Ce qui nous a surpris : La ponctualité et le bas prix des bus à Cluj. Les prix bas en général, sauf le logement. La nature à Borsa. Les bouteilles d'eau ne contiennent pas forcément de l'eau (tsuika) :il faut se méfier. Ce qui nous a déçu : les Mici. D'après la description c'était des fricadelles gastronomiques mais ce n'était pas à la hauteur. L'animation : Cluj est une ville estudiantine mais en été ils sont eux aussi en vacances, c'est logique...
Fiche qui présente une déficience, l'autisme, décrit les compétences d'une personne porteuse dans les différentes domaines de développement, donne les conséquences pour l'animation scoute en proposant des pistes pour celle-ci.
Fiche qui présente une déficience, l'autisme, décrit les compétences d'une personne porteuse dans les différentes domaines de développement, donne les conséquences pour l'animation scoute en proposant des pistes pour celle-ci.
TéléchargerLe camp GoURBAN au Luxembourg était un camp national luxembourgeois ouvert aux unités internationales. Le principe est semblable à celui des autres camps nationaux/internationaux organisés pendant l'été : les organisateurs prévoient plus de 200 activités sur le camp, les animés ont alors à choisir au jour le jour à laquelle de ces activités ils veulent participer, tandis que les animateurs...
Objectif :
Le but de ce camp était, d'un coté, de rencontrer de nombreux autres Scouts, de découvrir comment est vécu le Scoutisme à l'étranger, mais également de pouvoir participer à des grosses activités (le Poste n'était composé que de sept Pionniers et participer au camp international permettait d'avoir une grosse organisation pour un petit groupe).
Description :
Le camp GoURBAN au Luxembourg était un camp national luxembourgeois ouvert aux unités internationales. Le principe est semblable à celui des autres camps nationaux/internationaux organisés pendant l'été : les organisateurs prévoient plus de 200 activités sur le camp, les animés ont alors à choisir au jour le jour à laquelle de ces activités ils veulent participer, tandis que les animateurs donnent un coup de main à l'organisation (animer des activités, entretenir le camp, ...). Etant donné que, chaque jour, les animés et les animateurs participent à des activités différentes avec des animés/animateurs différents à chaque fois, les rencontres sont nombreuses et variées. En plus de ces "activités au choix", des veillées sont organisées tous les soirs (Veillée Casino, Jeu de Nuit, Concours de Talents, Concerts, ...), un Hike de deux jours est également proposé et des Cérémonies (Ouverture, Portes Ouvertes, Clôture, ...) rythment le camp.
Fiche qui présente l'infirmité motrice cérébrale (IMC), décrit les compétences d'une personne porteuse dans les différentes domaines de développement, donne les conséquences pour l'animation scoute en proposant des pistes pour celle-ci.
Fiche qui présente l'infirmité motrice cérébrale (IMC), décrit les compétences d'une personne porteuse dans les différentes domaines de développement, donne les conséquences pour l'animation scoute en proposant des pistes pour celle-ci.
TéléchargerDans le but de casser la routine d’un camp en deux parties (humanitaire et culturel), nous nous sommes lancés un pari fou, faire un camp itinérant avec comme seul support notre matériel et la débrouillardise légendaire du scout. Une personne m’a dit un jour qu’il faut laisser une place à l’imprévu quand il pointe son nez, nous ne savions pas que les imprévus étaient nombreux sur le...
Objectif :
Le but principal de notre projet était de sortir des sentiers battus et de casser la routine des camps pionniers de notre unité. Nous voulions mettre la débrouillardise en plein cœur de notre projet et faire vivre un camp quasiment autonome mais aussi itinérant à nos Pios. La tortue plutôt que le lièvre Plutôt que de courir un peu partout pour voir le plus de choses possibles, nous avons sélectionné les choses que nous voulions voir et faire. Nous savions que le camp allait être fort épuisant tant au niveau physique qu’au niveau mental et donc il paraissait logique d’insérer entre les parties découverte, trek, canoë, jeux, culture, etc, des moments de détente. Du train et encore du train … Nous avons réfléchi lors de la préparation de notre projet à un moyen de transport économique et écologique. Le train semblait être une très bonne alternative. Cependant, partant assez loin, le train a occupé une bonne partie de notre camp et donc, nous avons décidé qu’il fasse entièrement partie de notre projet. Le train nous apportait aussi un sentiment de liberté et ne nous posait presque aucun problème au niveau des bagages. De plus, les animateurs ne devaient pas prendre la responsabilité de prendre le volant et donc le staff a vécu le même camp que les animés. Pour ce faire, nous avons pris des pass Interrail de 7 jours sur une période de 1 mois. Marche ou nage Ce camp étant le dernier pour l’ensemble du staff, nous voulions le rendre quasiment exceptionnel. Certains souhaitaient réaliser un trek dans les Fjords de la Norvège et d’autres vivre un moment en autonomie dans les lacs suédois. Du coup, après de longs débats, nous avons conclu que l’un c’est bien mais les deux c’est mieux ^^ L’engagement Durant l’engagement, nos pionniers ont eu l’occasion à la fois d’affirmer/réaffirmer leur adhésion aux valeurs de la Loi scoute ainsi que de réfléchir aux actions concrètes qu’ils pourraient poser dans leur vie de jeune adulte. Celui-ci s’est déroulé dans la continuité de la promesse (éclaireurs), ayant aussi pour objectif de leur remémorer celle-ci et de faire un point avec eux sur cet engagement 2-3 ans auparavant.
Description :
Dans le but de casser la routine d’un camp en deux parties (humanitaire et culturel), nous nous sommes lancés un pari fou, faire un camp itinérant avec comme seul support notre matériel et la débrouillardise légendaire du scout. Une personne m’a dit un jour qu’il faut laisser une place à l’imprévu quand il pointe son nez, nous ne savions pas que les imprévus étaient nombreux sur le chemin vers les Pays Scandinaves. Notre aventure commence non pas au Jour-J mais au J-1. Nous sommes donc un jour avant le grand départ, les sacs sont prêts, les documents imprimés, le stress commence à se pointer, etc. Vient alors le premier imprévu du camp, les syndicats de la SNCB décident de prolonger leur grève le samedi 30/06 et donc notre train Welkenraedt-Aachen est annulé. Heureusement, les supers parents de nos animés viennent à notre rescousse et, le soir même, nous en trouvons 5 (nous sommes 19 à partir) pour nous conduire directement à la gare d’Aachen le lendemain matin. Problème résolu, le camp peut bien commencer. Nous démarrons, du coup, de la gare d’Aachen le 30/06 au matin direction Flensburg en Allemagne. Je vous ferais grâce des nombreuses liaisons car nous avons décidé de ne pas prendre de réservations dans les trains. Nous arrivons donc fin d’après-midi à Flensburg et après une petite marche de 5km, le camping. Un fois les tentes montées et quelques petites courses faites, nous mangeons un plat typique du pays qui nous accueille : des hot dogs. Ne nous jugez pas, il fallait économiser nos réserves en gaz. Nous en profitons pour faire un moment de détente afin de présenter le fil rouge de notre camp : La COUPE VIKING !!! Non, aucun rapport avec la coupe du monde qui a lieu en même temps … Le lendemain, nous profitons d’une rare douche chaude avant de rejoindre la gare de Flensburg. Arrivant plein d’entrain et en chantant … oui, je vous jure. Nous bafouillons quelques mots d’allemand au guichet et comprenons que le train vers Copenhague est annulé. Tiens tiens, on dirait du déjà vu ^^ Nous avons néanmoins rejoint Copenhague en fin d’après-midi et ensuite nous avons pris un bus de nuit en direction d’Oslo. A Oslo, nous avons organisé un « Oslo City Game » afin de faire découvrir cette capitale de façon ludique. Nous en avons profité pour traverser le fjord d’Oslo à bord d’un drakkar, qui ressemblait fortement à un ferry, afin de visiter le musée Viking de l’autre côté de la baie. Dans l’après-midi, nous nous sommes rendu à la gare d’Oslo pour prendre un train direction Kongsberg. Cependant, nous n’avions pas encore eu notre imprévu du jour. Du coup, le hasard a mis un feu de foret entre nous et Kongsberg : un fâcheux problème. Ce n’était sans compter sur l’organisation impeccable des norvégiens, qui nous ont mis à disposition un bus afin de faire la liaison Oslo-Kongsberg. Arrivés, nous avons vécu le moment le plus stressant du camp, un moment terrible, qui aurait pu mettre à mal le moral inébranlable de notre groupe, je veux parler du match Belgique-Japon ! L’un ou l’autre membre du poste ont bien failli s’effondrer. Enfin, une fois la Belgique victorieuse, nous avons pris le train de nuit direction les fjords de l’ouest de la Norvège vers Stavanger. Marcher en pleine nature norvégienne s’est montré plus difficile que prévu. Après une longue journée de marche durant laquelle nous nous sommes perdus plusieurs fois, c’est épuisés que nous avons monté nos tentes sur un terrain de golf. C’est à cet endroit que nous avons dû affronter, pour la première fois, un adversaire plus qu’inépuisable, coriace, indéfiniment nombreux et certes redoutable : les moucherons ! Des nuées de moucherons, à en avaler une centaine rien qu’en parlant. Mais soit, nous avons donc monté nos tentes et cohabité le temps d’une soirée avec notre hôte local. Le lendemain, nous sommes repartis et avons découvert notre petit coin de paradis : Preikestolen. Un magnifique lac au bord d’un chemin de randonné très prisé pour son point de vue magnifique. Encore exténués de la veille, nous avons profité de la quiétude du lac pour la journée. En soirée, nous avons fait vivre leur engagement à nos Pios. Ce n’est que le jour suivant que nous nous sommes attaqués à Preikestolen, une marche longue, mais qui valait largement le coup d’œil. En haut, nous avions vue sur un immense fjord et nous en sommes restés bouche bée. Une fois redescendus, nous sommes retournés près du quai du ferry afin de le prendre le lendemain. Nous avons dormi sur une petite île et fait un grand jeu le lendemain matin. Une seconde traversée plus tard, nous avons mis pied, de nouveau, à Stavanger pour reprendre le train de nuit. Mais avant ça, nous ne pouvions pas manquer le match endiablé des Belges contre le Brésil. C’est en mettant une ambiance du feu de dieu que nous quittons Stavanger pour rejoindre Göteborg en Suède. C’est en Suède que commence la seconde partie de notre projet : le mini Drakkar. Je vous l’accorde ça ressemble fortement à des canoés mais la différence est difficile pour des novices. C’est en naviguant pendant 4 jours et 4 nuits que nous découvrons le paradis suédois. Tout en logeant sur différentes iles et passant de lac en lac à la force de nos bras, nous continuons les épreuves de la coupe viking avec certains jeux créés par nos Pios eux-mêmes. Lors de notre aventure, dans les eaux suédoises, nous avons dû braver de la tempête à la sécheresse et aussi 10 petits km pour aller jusqu’à une supérette afin de faire nos courses. C’est le cœur lourd que nous apprenons la défaite de nos diables rouges, rendons nos drakkars, et filons vers la gare pour rejoindre Copenhague. Notre boucle en Scandinavie se finit et nous arrivons dans la capitale danoise. Si nous avions dû négliger la capitale à l’aller, ce ne fut pas le cas au retour. Visites et distractions sont venues ponctuer ce camp qui touchait (déjà) à sa fin. Nous avons dormi deux nuits dans un camping où les propriétaires sont certes rustres mais très accueillants. La dernière journée ressemblait énormément à la première. Du train et encore du train. Comme quoi notre pass interrail fut bien rentabilisé. Nous avons rejoint notre Belgique adorée sans le moindre encombre. C’est donc avec l’esprit rempli de souvenirs et un groupe plus soudé que jamais que nous retrouvons les parents de nos animés sur le quai et que ce camp inoubliable se termine. Remarque : Le plus compliqué durant le trek et le canoë fut notre gestion de la nourriture, et surtout de l’eau. Obtenir de l’eau potable était une de nos préoccupations principales. Nous nous étions finalement procuré des pastilles de chlore, qui donnent un (dés)agréable goût à l’eau traitée. Mais au moins, nous n’allions pas mourir déshydratés ! Nous avons aussi privilégié la nourriture lyophilisée et les pâtes Knorr que nous avions achetées en Belgique afin de ne pas lapider notre budget sur la nourriture.
Dépliant qui explique aux candidats ce qu'est le scoutisme et en quoi consiste le rôle d'animateur d'unité.
Dépliant qui explique aux candidats ce qu'est le scoutisme et en quoi consiste le rôle d'animateur d'unité.
TéléchargerDocument complémentaire à la fiche santé, à faire compléter par les parents du jeune ou le médecin en cas de prise de médicaments.
Document complémentaire à la fiche santé, à faire compléter par les parents du jeune ou le médecin en cas de prise de médicaments.
TéléchargerLe carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel...
Le carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel accident.
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