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ActualitéComment mettre de la spiritualité dans ton animation ? Tout en intéressant et motivant les scouts ? On a ce qu'il te faut.
Posté le 11/10/2022
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Comment mettre de la spiritualité dans ton animation ? Tout en intéressant et motivant les scouts ? On a ce qu'il te faut.
Posté le 11/10/2022
Tisser le soutien Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes) Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau...
Objectif :
L’aptitude à trouver du soutien constitue une grande part de la résilience. En identifiant sa place au sein d’une communauté, les rapports bénéfiques que l’on entretient déjà avec les personnes et qui est là pour nous, l’on sait à qui s’adresser en cas de besoin. Le simple fait de savoir que l’on peut compter sur quelqu’un nous aide à être plus résilients face aux épreuves.
Description :
Tisser le soutien
Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes)
Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau de soutien d’autres personnes.
Les participants énoncent tout haut une action qui leur fait particulièrement plaisir ou qui leur remonte le moral quand ils ne vont pas bien. Ils prennent la parole, les uns après les autres, quand ils ont une idée qui peut se rattacher à l’idée précédente : “Quand je ne suis pas en forme, je me fais un chocolat chaud.” à "Pour me remonter le moral, je me fais un café."
À chaque nouvelle idée énoncée, une pelote de laine est déroulée. Une grande toile d’araignée se construit (l'animateur invite les participants à ne pas être trop éloignés les uns des autres pour ne pas que le fil de la toile soit tendu, cela aura son intérêt dans l’étape de débriefing).
L’animateur veille à ce que chaque participant prenne la parole entre une et deux fois (cela sera important pour la suite de l’activité).
Étape 2 : Ce que je peux faire pour les autres et ce qu’ils peuvent faire pour moi (10 minutes)
Ensuite, la pelote de laine est rebobinée et l’activité est réalisée une deuxième fois : cette fois, chaque participant est invité à proposer une action qui pourrait répondre au besoin d’un autre participant. Il va donc falloir faire travailler sa mémoire !
Pour cette étape, les participants auront besoin de l’aide de l’animateur car il faudra faire preuve de créativité pour répondre à des besoins qui peuvent sembler inaccessibles s’ils sont pris au sens strict du terme. Exemple : « Martin dit qu’il a besoin de voyager ». Un autre participant peut proposer un jeu sur le thème du voyage avec un plateau de jeu sous forme d’une carte du monde.
Débriefing
Une fois cette première étape terminée, l’animateur communique les infos ci-dessous aux participants.
Faire partie du groupe de soutien de quelqu’un d’autre est très important pour travailler sa résilience et permet aux scouts de sentir qu’ils sont un élément important de la résilience collective.
Activer le réseau de soutien
Étape 3 : Identifier une personne à soutenir
L’animateur invite les participants à identifier quelqu’un qui traverse une période difficile. Cette personne fait partie ou non des scouts. L'animateur propose à ceux qui le veulent à partager l’information avec le reste du groupe, sans préciser de qui il s’agit : « Dans mon entourage, je connais quelqu’un qui ne peut plus travailler à cause d'une maldie de longue durée.”
Étape 4 : Prendre action
L'animateur propose aux participants d’écrire ou de dessiner une carte postale pour cette personne. En fonction des envies du groupe, cette carte postale peut être composée d’éléments de la nature, être le premier élément d’une chaîne de cartes, etc.
Les participants repartent ensuite avec leur carte et la font parvenir eux-mêmes à la personne qu’ils ont choisie.
Étape 5 : Pour se rappeler
L’animateur conclut cette animation en proposant à chaque participant de se confectionner un petit bracelet et de l’enfiler au poignet de son choix. Chaque fois que le regard d’un scout se posera dessus, cela lui rappellera la carte postale qu’il avait prévu d’envoyer.
L'animateur peut se renseigner sur l'envoi ou non de la carte dans les semaines suivantes, sans tomber dans la vérification : “Alors est-ce que tu as bien envoyé ta carte postale ?”. Ce moment, c’est une opportunité qu’on donne aux scouts. L’action prévue peut être rappelée aux participants mais il ne faut pas que ça devienne une obligation.
Infos pour l’animateur
Si la personne qui traverse une période en difficulté à laquelle un scout pense est un jeune entre 6 et 18 ans, il peut être intéressant de réfléchir à la possibilité de l’accueillir au sein de l’unité.
Étape 1 : découvrir les objectifs de développement durable (20 minutes) Au préalable, l’animateur aura disposé un peu partout dans le local des feuilles présentant différentes personnes engagées (annexe 5.1.). Sans donner plus d’explication, l’animateur propose aux participants de se promener dans la pièce...
Objectif :
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Description :
Étape 1 : découvrir les objectifs de développement durable (20 minutes)
Au préalable, l’animateur aura disposé un peu partout dans le local des feuilles présentant différentes personnes engagées (annexe 5.1.).
Sans donner plus d’explication, l’animateur propose aux participants de se promener dans la pièce et de découvrir les contenus éparpillés dans la pièce. Après une dizaine de minutes, le groupe se rassemble et l’animateur leur demande le point commun qu’ils observent entre ces personnes. Les participants s’accordent sur une réponse commune, il peut y avoir discussion, si nécessaire. Réponse attendue : Tous s’engagent/se sont engagés au nom d’une cause importante à leurs yeux.
Ensuite, l’animateur demande aux participants s’ils ont déjà entendu parler des Objectifs de développement durable (ODD) et si oui, ce qu’ils en savent. Selon leur réponse, l’animateur complète les informations essentielles :
Il s’agit de 17 objectifs qui ont pour but de promouvoir la prospérité tout en protégeant la planète. Adoptés par les Nations unies en 2015, ils lancent un appel à l’action. Les Scouts ont répondu à cet appel, qui fait écho à notre mission : créer un monde meilleur.
Convaincus que l’Union fait la force, chaque unité et section est invitée à rejoindre les 57 millions de scouts, apportant ainsi une plus grande contribution des jeunes aux Objectifs de développement durable à travers le monde.
En se servant du descriptif (Annexe 5.2. découpée au préalable), l’animateur présente ces objectifs un à un. Ensuite, il distribue un ODD à un ou deux participants, selon le nombre des personnes présentes. Ils sont alors invités à associer leur ODD à un personnage découvert lors de l’étape précédente.
Étape 2 : réfléchir autour de l’engagement et de la gratuité (15 minutes)
L’animateur propose aux participants de brainstormer quelques minutes sur la manière dont on peut s’engager pour une cause :
L’animateur écrit les réponses sur une affiche. Quelques exemples : seul, à plusieurs, avec une association, rendre un service qui profite directement à un groupe de personnes, agir au quotidien, s’informer, sensibiliser son entourage, agir sur du court ou du long terme…
L’idée n’est pas d’obtenir une liste exhaustive mais de souligner les multiples formes que peuvent prendre l’engagement.
S’ensuit une discussion collective autour de l’engagement :
Étape 3 : s’engager personnellement (20 minutes)
Ensuite, l’animateur explique que c’est l’ensemble des Objectifs de développement durable qui contribue à rendre le monde meilleur mais que, selon ses sensibilités, on a généralement plus d’affinités avec l’une ou l’autre cause. Dès lors, les participants sont invités à marquer leur intérêt pour un ou plusieurs objectifs en particulier. Pour cela, chacun dispose de cinq points à répartir librement parmi les 17 propositions. Ils peuvent, par exemple, poser 5 points sur un même objectif ou donner 1 point à un objectif et 4 points à un autre… Ils écrivent leur prénom sur la feuille de l’objectif choisi et indique le nombre qu’ils attribuent à celui-ci. Sur base des votes émis par chacun, les participants constituent des petits groupes de 3 à 6 personnes autour d’un ODD.
A noter : Les ODD ne remportant pas de succès seront mis de côté et un même ODD peut être choisi par plusieurs groupes.
Les groupes approfondissent l’ODD qu’ils ont choisi. Pour cela, ils réfléchissent à la manière dont ils peuvent contribuer personnellement à faire avancer cet objectif, dans et en dehors du scoutisme. Chaque groupe reçoit une affiche pour écrire ses réflexions et des pistes d’action.
Après une vingtaine de minutes, les groupes se rassemblent pour une présentation des différentes affiches.
Étape 4 : vivre l’engagement avec sa section (25 minutes)
Pour cette étape, les participants se rassemblent par staff. A présent, ils vont réfléchir à la manière dont ils pourraient s’engager avec leur section. Pour cela, chaque groupe reçoit une feuille de route à compléter (annexe 5.3.).
Cette feuille reprend les différentes ressources à leur disposition pour les soutenir dans leur démarche. Ils les découvrent avec un ordinateur ou leur téléphone, selon leurs possibilités.
Chaque groupe est invité à lister les actions, attitudes ou activités qu’ils souhaitent mettre en œuvre pour faire avancer un ou plusieurs ODD.
Pour clôturer cette animation, chaque staff choisit un élément inscrit sur sa feuille de route qu’il a envie de partager avec l’ensemble du groupe. Ils repartent avec ce support sous le bras, il n’y a plus qu’à passer à l’action.
Pour aller plus loin…
Contexte Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés. L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages : vivre...
Objectif :
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Description :
Contexte
Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés.
L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages :
vivre ensemble (c’est-à-dire faire connaissance, se présenter, jouer en collaboration avec les autres) ;
développer l’empathie (c’est-à-dire permettre à chaque scout de découvrir l’autre et ses sensibilités) ;
décoder les préjugés (c’est-à-dire prendre conscience qu’il nous arrive de catégoriser l’autre) ;
agir contre les phénomènes de harcèlement (c’est-à-dire réfléchir sur nos comportements et leur impact).
Dans le HUB ressources > Activités, tu trouves des animations (comme celle-ci) qui concernent principalement un des quatre engrenages. Pour que le système de prévention soit efficace, propose à ta section des activités issues des quatre familles.
Si d'aventure tu étais amené à agir contre un phénomène de harcèlement présent dans ta section ou ayant un impact sur celle-ci, contacte le service Incidents de la fédération, qui te soutiendra dans cette démarche, par téléphone au 02/508.12.00 ou à l’adresse [email protected]. Tu peux également utiliser le formulaire de signalement qui est à ta disposition.
Des outils à ta disposition
Un apport théorique pour bien comprendre ce qu’est le harcèlement et qui sont les acteurs impliqués
Quelques bonnes pratiques pour animer une discussion
Des points de repère pour garder le cap avec les scouts (aspects légaux, mais aussi humains)
Des conseils pour réagir si un scout se confie
En un clin d’œil
La problématique du harcèlement t’interpelle : visite la page Prévention Harcèlement du site.
Objectifs
Activité
Ceci est une version légèrement différente de la journée cacahouète.
1. Place les papiers avec les prénoms des scouts dans le récipient et demande à chacun d’en piocher un. Attention, il faut le garder secret.
2. Pendant la réunion (ou le WE), les scouts deviendront le gardien de la personne dont ils ont pioché le prénom. Le gardien a pour mission de prendre soin et de soutenir son « protégé », sans se faire démasquer. Pour faciliter le rôle de gardien, n’hésite pas à trouver quelques exemples concrets avec les scouts : jouer ensemble, lui servir un verre d’eau à table, lui dire des gentilles choses… Il en s’agit donc pas de cadeaux matériels. Pour brouiller les pistes, le gardien peut évidemment aider d’autres scouts que son « protégé ». Rappelle régulièrement aux scouts qu’ils ont un rôle à jouer pendant cette journée afin qu’ils n’oublient pas leur mission.
3. À la fin de la journée (ou du WE), prévois un temps d’échange avec le groupe. Demande à chaque enfant qui était son gardien, pourquoi il pense cela, comment il s’est senti tout au long de l’activité, si c’était différent de d’habitude. S’il n’a pas trouvé le bon gardien, invite le « vrai » gardien à se manifester et demande-lui ce qu’il a mis en place pour veiller sur son protégé, ce qu’il a fait pour ne pas se faire repérer, comment il s’est senti dans son rôle de gardien… Si le gardien a eu du mal à endosser sa mission, cela peut être intéressant qu’il exprime pourquoi cela a été compliqué pour lui.
4. Clôture en demandant aux scouts ce qu’ils ont pensé de toutes ces actions bienveillantes et de leur impact sur la vie du groupe.
Contexte Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés. L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages : vivre...
Objectif :
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Description :
Contexte
Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés.
L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages :
vivre ensemble (c’est-à-dire faire connaissance, se présenter, jouer en collaboration avec les autres) ;
développer l’empathie (c’est-à-dire permettre à chaque scout de découvrir l’autre et ses sensibilités) ;
décoder les préjugés (c’est-à-dire prendre conscience qu’il nous arrive de catégoriser l’autre) ;
agir contre les phénomènes de harcèlement (c’est-à-dire réfléchir sur nos comportements et leur impact).
Dans le HUB ressources > Activités, tu trouves des animations (comme celle-ci) qui concernent principalement un des quatre engrenages. Pour que le système de prévention soit efficace, propose à ta section des activités issues des quatre familles.
Si d'aventure tu étais amené à agir contre un phénomène de harcèlement présent dans ta section ou ayant un impact sur celle-ci, contacte le service Incidents de la fédération, qui te soutiendra dans cette démarche, par téléphone au 02/508.12.00 ou à l’adresse [email protected]. Tu peux également utiliser le formulaire de signalement qui est à ta disposition.
Des outils à ta disposition
Un apport théorique pour bien comprendre ce qu’est le harcèlement et qui sont les acteurs impliqués
Quelques bonnes pratiques pour animer une discussion
Des points de repère pour garder le cap avec les scouts (aspects légaux, mais aussi humains)
Des conseils pour réagir si un scout se confie
En un clin d’œil
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Objectifs
Activité
1. Instaure une ambiance calme et réunis les scouts. Explique-leur que vous allez constituer, tous ensemble, une boite Bienêtre dans laquelle se trouveront des tas d’idées concrètes pour se sentir bien ensemble.
2. Demande-leur ce dont ils ont besoin quand ils sont tristes, en colère, fatigués, coincés dans une situation problématique… Tu peux bien évidemment introduire cette étape par une histoire de La Légende des Baladins (comme « Le cadeau » ou « Des petits, des gros et des moyens ») ou du Jungle à la meute (comme « Les frères de Mowgli ») ou tout autre livre qui traite du sujet des émotions et besoins, comme « La couleur des émotions » ou « Gaston la licorne » par exemple.
3. Demande à chaque enfant de dessiner ou de noter sur un papier ce besoin ou l’action qu’il fait pour se sentir mieux. Chacun pourrait aussi choisir la carte Besoins qui lui parle le plus.
4. Quand chacun a au moins une idée d’une action simple, il la partage au groupe qui peut la bonifier. Veille à ce que le groupe accueille chaque idée avec bienveillance, dans le respect des différences de fonctionnement de chacun.
5. Ensuite, le scout qui a proposé l’action la note / la dessine sur un morceau de papier qu’il glisse dans la boite.
Quand un enfant a besoin de faire le plein d’émotions agréables ou que le groupe a besoin d’un regain d’esprit de collaboration, on pioche une carte et on exécute l’action qui se trouve dessus.
À cours d’inspiration ?
Voici quelques idées d’action : offrir un compliment, proposer son aide, proposer de jouer avec quelqu’un, faire un câlin, rendre un service sans qu’on le demande, offrir un dessin, inspirer et expirer longuement trois fois, demander de l’aide, proposer une activité à quelqu’un…
Contexte Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés. L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages : vivre...
Objectif :
/
Description :
Contexte
Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés.
L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages :
vivre ensemble (c’est-à-dire faire connaissance, se présenter, jouer en collaboration avec les autres) ;
développer l’empathie (c’est-à-dire permettre à chaque scout de découvrir l’autre et ses sensibilités) ;
décoder les préjugés (c’est-à-dire prendre conscience qu’il nous arrive de catégoriser l’autre) ;
agir contre les phénomènes de harcèlement (c’est-à-dire réfléchir sur nos comportements et leur impact).
Dans le HUB ressources > Activités, tu trouves des animations (comme celle-ci) qui concernent principalement un des quatre engrenages. Pour que le système de prévention soit efficace, propose à ta section des activités issues des quatre familles.
Si d'aventure tu étais amené à agir contre un phénomène de harcèlement présent dans ta section ou ayant un impact sur celle-ci, contacte le service Incidents de la fédération, qui te soutiendra dans cette démarche, par téléphone au 02/508.12.00 ou à l’adresse [email protected]. Tu peux également utiliser le formulaire de signalement qui est à ta disposition.
Des outils à ta disposition
Un apport théorique pour bien comprendre ce qu’est le harcèlement et qui sont les acteurs impliqués
Quelques bonnes pratiques pour animer une discussion
Des points de repère pour garder le cap avec les scouts (aspects légaux, mais aussi humains)
Des conseils pour réagir si un scout se confie
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Objectifs
Activité
Au préalable, crée deux cartes questions :
1. Pense à quelques situations que tes scouts pourraient vivre. En voici quelques exemples :
2. Place les deux cartes « question » face aux joueurs.
3. Lis une situation à voix haute et assure-toi qu’elle est bien comprise par tout le monde.
4. Chacun à leur tour, les scouts proposent une réponse à chacune des deux questions :
- Que ferais-tu à sa place ?
- A qui pourrais-tu en parler ?
N’hésite pas à demander aux enfants d’expliquer leur choix et à chercher d’autres réponses avec les autres.
4. Quand ceux qui le souhaitaient se sont exprimés, passe à la situation suivante.
Bonnes pratiques
Les candidatures à la présidence de l'assemblée fédérale se sont clôturées le 25 novembre dernier.Les coprésidents de l’assemblée fédérale ont reçu une candidature, celle de Benjamin Visée. Découvre son interview et les prochaines étapes.
Posté le 21/12/2022
Les bénévoles longent la Haine depuis le chemin de halage et ramassent les déchets présents.
Objectif :
Cette action, appelée « Opération Rivière Propre » consiste à nettoyer les abords de la Haine des nombreux présents. Les objectifs sont multiples tant au niveau de l’amélioration paysagère de la zone concernée que de la préservation de la qualité de l’eau.
Description :
Les bénévoles longent la Haine depuis le chemin de halage et ramassent les déchets présents.
Attentes des volontaires :
Sur le terrain, les scouts doivent se montrer rigoureux afin de garantir l’efficacité de l’opération.
La zone de travail pouvant être difficile d’accès (broussailleux, pentus), les scouts se doivent d’être prudents et à l’écoute des consignes de sécurité.
Accompagnement pédagogique prévu :
Minimum un représentant du Contrat de Rivière Haine sera présent pour encadrer les jeunes, présenter notre structure et ses missions.
Une animation sur la durée de vie des déchets peut être réalisée une fois le ramassage terminé. C’est une manière ludique de faire prendre conscience aux jeunes le temps que mettent les déchets à se décomposer dans la nature.
Contexte Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés. L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages : vivre...
Objectif :
/
Description :
Contexte
Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés.
L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages :
vivre ensemble (c’est-à-dire faire connaissance, se présenter, jouer en collaboration avec les autres) ;
développer l’empathie (c’est-à-dire permettre à chaque scout de découvrir l’autre et ses sensibilités) ;
décoder les préjugés (c’est-à-dire prendre conscience qu’il nous arrive de catégoriser l’autre) ;
agir contre les phénomènes de harcèlement (c’est-à-dire réfléchir sur nos comportements et leur impact).
Dans le HUB ressources > Activités, tu trouves des animations (comme celle-ci) qui concernent principalement un des quatre engrenages. Pour que le système de prévention soit efficace, propose à ta section des activités issues des quatre familles.
Si d'aventure tu étais amené à agir contre un phénomène de harcèlement présent dans ta section ou ayant un impact sur celle-ci, contacte le service Incidents de la fédération, qui te soutiendra dans cette démarche, par téléphone au 02/508.12.00 ou à l’adresse [email protected]. Tu peux également utiliser le formulaire de signalement qui est à ta disposition.
Des outils à ta disposition
Un apport théorique pour bien comprendre ce qu’est le harcèlement et qui sont les acteurs impliqués
Quelques bonnes pratiques pour animer une discussion
Des points de repère pour garder le cap avec les scouts (aspects légaux, mais aussi humains)
Des conseils pour réagir si un scout se confie
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Activité
Avant de commencer l’activité, dispose, au centre de la pièce, les photos de personnes. Sois attentif à afficher des portraits assurant une variété au niveau genre, ethnie, caractéristiques physiques, handicaps, signes d’appartenance religieuse... Tu peux découper ces images dans des magazines ou en trouver sur des sites de banques d’images sur internet.
Veille à bien écouter les stéréotypes, généralisations, étiquettes de chacun.
3. Après ce tour de parole, pose les questions suivantes (et d’autres si tu veux) afin d’ouvrir la discussion et de faire tomber les préjugés.
Point d'attention
Peut-être certains enfants tiendront-ils des propos qui pourraient t’étonner par leur caractère discriminant (raciste, sexiste, etc.).
Montre à l’enfant qu’il a été entendu, mais explique-lui que chez les scouts, on vit l’ouverture à tous et on respecte les différences. Tu peux utiliser des supports pédagogiques (livres ou jeux) pour appuyer tes propos, comme les livres « Toutes les familles de mon village » ou la série « Mes p’tites questions et moi », ou les affiches d’Élise Gravel.
Contexte Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés. L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages : vivre...
Objectif :
/
Description :
Contexte
Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés.
L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages :
vivre ensemble (c’est-à-dire faire connaissance, se présenter, jouer en collaboration avec les autres) ;
développer l’empathie (c’est-à-dire permettre à chaque scout de découvrir l’autre et ses sensibilités) ;
décoder les préjugés (c’est-à-dire prendre conscience qu’il nous arrive de catégoriser l’autre) ;
agir contre les phénomènes de harcèlement (c’est-à-dire réfléchir sur nos comportements et leur impact).
Dans le HUB ressources > Activités, tu trouves des animations (comme celle-ci) qui concernent principalement un des quatre engrenages. Pour que le système de prévention soit efficace, propose à ta section des activités issues des quatre familles.
Si d'aventure tu étais amené à agir contre un phénomène de harcèlement présent dans ta section ou ayant un impact sur celle-ci, contacte le service Incidents de la fédération, qui te soutiendra dans cette démarche, par téléphone au 02/508.12.00 ou à l’adresse [email protected]. Tu peux également utiliser le formulaire de signalement qui est à ta disposition.
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Un apport théorique pour bien comprendre ce qu’est le harcèlement et qui sont les acteurs impliqués
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Objectifs
Activité
Apport
Instaurer le « banc de l’amitié », c’est prévoir un lieu, choisi et connu de tous, qui poursuit deux objectifs :
Aujourd’hui, nombreuses sont les écoles qui ont installé un « banc de l’amitié » en leur sein. Dès lors, il y a fort à parier que l'un ou l'autre enfant sache déjà ce que c'est et puisse l'expliquer aux autres. Invite ces baladins à partager leur expérience, tout en prévenant que le fonctionnement sera peut-être un peu différent au sein de votre ribambelle.
Mise en œuvre
Avec toute la ribambelle ou toute la meute, au cours d’un conseil
1. Explique aux scouts le principe et l’utilité du banc de l’amitié.
2. Décidez ensuite :
Ensuite, organise une discussion en petits groupes pour réfléchir à ce qui peut être fait si un enfant s’assied sur le banc de l’amitié. De retour en grand groupe, chaque équipe y présente ses idées.
Remarque : Le moment de réflexion autour de la mise en place du banc se déroule une seule fois par année scoute, mais, à chaque réunion, pense à en rappeler l’utilité et les gestes à poser pour soutenir un baladin ou un louveteau qui s’y assied.
Contexte Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés. L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages : vivre...
Objectif :
/
Description :
Contexte
Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés.
L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages :
vivre ensemble (c’est-à-dire faire connaissance, se présenter, jouer en collaboration avec les autres) ;
développer l’empathie (c’est-à-dire permettre à chaque scout de découvrir l’autre et ses sensibilités) ;
décoder les préjugés (c’est-à-dire prendre conscience qu’il nous arrive de catégoriser l’autre) ;
agir contre les phénomènes de harcèlement (c’est-à-dire réfléchir sur nos comportements et leur impact).
Dans le HUB ressources > Activités, tu trouves des animations (comme celle-ci) qui concernent principalement un des quatre engrenages. Pour que le système de prévention soit efficace, propose à ta section des activités issues des quatre familles.
Si d'aventure tu étais amené à agir contre un phénomène de harcèlement présent dans ta section ou ayant un impact sur celle-ci, contacte le service Incidents de la fédération, qui te soutiendra dans cette démarche, par téléphone au 02/508.12.00 ou à l’adresse [email protected]. Tu peux également utiliser le formulaire de signalement qui est à ta disposition.
Des outils à ta disposition
Un apport théorique pour bien comprendre ce qu’est le harcèlement et qui sont les acteurs impliqués
Quelques bonnes pratiques pour animer une discussion
Des points de repère pour garder le cap avec les scouts (aspects légaux, mais aussi humains)
Des conseils pour réagir si un scout se confie
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Objectifs
Activité
1. Les participants forment des duos composés d’un "mime" et un "devineur".
2. L’animateur reforme le groupe puis suscite la réflexion autour de questions telles que :
3. L’animateur conclut en insistant sur deux points :
Tisser le soutien Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes) Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau...
Objectif :
L’aptitude à trouver du soutien constitue une grande part de la résilience. En identifiant sa place au sein d’une communauté, les rapports bénéfiques que l’on entretient déjà avec les personnes et qui est là pour nous, l’on sait à qui s’adresser en cas de besoin. Le simple fait de savoir que l’on peut compter sur quelqu’un nous aide à être plus résilients face aux épreuves.
Description :
Tisser le soutien
Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes)
Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau de soutien d’autres personnes.
Les participants énoncent tout haut une action qui leur fait particulièrement plaisir ou qui leur remonte le moral quand ils ne vont pas bien. Ils prennent la parole, les uns après les autres, quand ils ont une idée qui peut se rattacher à l’idée précédente : “Quand je ne suis pas en forme, je me fais un chocolat chaud.” à "Pour me remonter le moral, je me fais un café."
À chaque nouvelle idée énoncée, une pelote de laine est déroulée. Une grande toile d’araignée se construit (l'animateur invite les participants à ne pas être trop éloignés les uns des autres pour ne pas que le fil de la toile soit tendu, cela aura son intérêt dans l’étape de débriefing).
L’animateur veille à ce que chaque participant prenne la parole entre une et deux fois (cela sera important pour la suite de l’activité).
Étape 2 : Ce que je peux faire pour les autres et ce qu’ils peuvent faire pour moi (10 minutes)
Ensuite, la pelote de laine est rebobinée et l’activité est réalisée une deuxième fois : cette fois, chaque participant est invité à proposer une action qui pourrait répondre au besoin d’un autre participant. Il va donc falloir faire travailler sa mémoire !
Pour cette étape, les participants auront besoin de l’aide de l’animateur car il faudra faire preuve de créativité pour répondre à des besoins qui peuvent sembler inaccessibles s’ils sont pris au sens strict du terme. Exemple : « Martin dit qu’il a besoin de voyager ». Un autre participant peut proposer un jeu sur le thème du voyage avec un plateau de jeu sous forme d’une carte du monde.
Débriefing
Une fois cette première étape terminée, l’animateur communique les infos ci-dessous aux participants.
Faire partie du groupe de soutien de quelqu’un d’autre est très important pour travailler sa résilience et permet aux scouts de sentir qu’ils sont un élément important de la résilience collective.
Activer le réseau de soutien
Étape 3 : Identifier une personne à soutenir
L’animateur invite les participants à identifier quelqu’un qui traverse une période difficile. Cette personne fait partie ou non des scouts. L'animateur propose à ceux qui le veulent à partager l’information avec le reste du groupe, sans préciser de qui il s’agit : « Dans mon entourage, je connais quelqu’un qui ne peut plus travailler à cause d'une maldie de longue durée.”
Étape 4 : Prendre action
L'animateur propose à chaque participant de réfléchir à une action qu’il pourrait faire pour cette personne dans les prochaines semaines pour lui montrer qu’il est là dans les moments difficiles.
Il est conseillé de choisir des actions très précises (exemple : “aller promener son chien”), cela maximisera les chances que l’action soit mise en œuvre. Pour trouver des idées, les participants peuvent repartir des idées énoncées lors des étapes 1 et 2.
La réflexion peut être menée collectivement mais, in fine, il est important que chaque participant ait identifié une action à mener. Les participants qui le souhaitent peuvent partager leur idée.
Étape 5 : Pour y penser
L’animateur conclut cette animation en proposant à chaque participant de se confectionner un petit bracelet et de l’enfiler au poignet de son choix. Chaque fois que le regard d’un participant se posera dessus, cela lui rappellera l’action qu’il souhaitait réaliser pour soutenir la personne de leur entourage qui traverse une période difficile.
L'animateur peuvt prendre des nouvelles de l'action à meenr au cours des semaines suivantes, sans tomber dans la vérification : “Alors est-ce que tu as bien réalisé ton action ?”. Ce moment, c’est une opportunité qu’on donne aux participants. L’action prévue peut être rappelée aux participants mais il ne faut pas que ça devienne une obligation.
Infos pour l’animateur
Si la personne qui traverse une période en difficulté à laquelle un scout pense est un jeune entre 6 et 18 ans, il peut être intéressant de réfléchir à la possibilité de l’accueillir au sein de l’unité.
Ne pas hésiter à refaire l’activité de l’étape 2 quelques semaines plus tard mais cette fois en énonçant une action qui a été réalisée et qui a fait du bien à une personne.
SITUATION : Parfois, des scientifiques un peu téméraires se lancent des défis insensés. Que diriez-vous par exemple de réaliser le tour de l’antarctique à pied ! Si ! C’est possible et nos explorateurs vont réaliser cela par équipes. Chaque équipe partira d’une station polaire différente et réalisera son...
Objectif :
Réaliser le tour de l'Antarctique en passant par un maximum de stations polaires.
Description :
SITUATION : Parfois, des scientifiques un peu téméraires se lancent des défis insensés. Que diriez-vous par exemple de réaliser le tour de l’antarctique à pied ! Si ! C’est possible et nos explorateurs vont réaliser cela par équipes. Chaque équipe partira d’une station polaire différente et réalisera son parcours par étape (un peu comme un Paris-Dakar mais en plus froid). A chaque station, l’équipe de scientifique sera mise à l’épreuve soit par l’intermédiaire d’une énigme scientifique ardue posée par les problèmes du froid, soit via une épreuve de force et dextérité.
BUT : Réaliser le tour de l'Antarctique en passant par un maximum de stations polaires.
DÉROULEMENT : Alors comment ça se passe en vrai : Il s’agit d’un jeu de plateau. Le plateau est ici une carte de l’Antarctique fixée sur une caisse en carton ou en frigolite. Sur le pourtour de la carte, on retrouve une quinzaine de punaise de 2 couleurs différentes. Prenons rouge et jaune. Les punaises rouges représentent des stations polaires (dont le nom est aussi noté sur la carte) tandis que les jaunes représentent des personnages errant en Antarctique tels que Manny, Sid, Diego, Scratch, Ellie (là le spectateur averti aura reconnu des personnages d’un film d’animation qui commence par « Ice » et qui termine par « Age »).
Chaque équipe se voit attribuer une couleur de fanion (Ces fanions sont réalisés en collant (papier collant) un rectangle en papier de couleur sur un cure-dent) ainsi qu’une station polaire de départ (sur laquelle elle plante un premier fanion). Chaque équipe est alors envoyée à la station ou le personnage suivant. Toutes les équipes réalisent le tour de l’Antarctique dans le même sens. Les personnages errant sont joués par les animateurs (possibilité d’intervenir plusieurs fois si pas assez d’animateurs) tandis que les stations polaires sont représentées par des enveloppes contenant une énigme scientifique ou une épreuve. Les personnages errants font réaliser une épreuve à l’équipe et en cas de réussite fournissent un fanion de la couleur de l’équipe, fanion qu’ils vont s’empresser de venir planter sur la carte afin de pouvoir passer à l’étape suivante. Dans le cas d’une enveloppe (station polaire), la réponse (l’épreuve) est à fournir (réaliser) au niveau du plateau de jeu. L’animateur présent là aussi fournit un fanion en cas de réussite. Le but est bien évidemment de passer par un maximum de stations polaires afin de réaliser le tour de l’Antarctique.
Contenu des enveloppes : rajoutez vos idées
Épreuves des personnages errants :
REMARQUE : Les déguisements sont bien sûr obligatoires. Tout le monde met son matos de ski. Il faut vraiment donner l’impression qu’on se les gèle.
Tisser le soutien Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes) Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau...
Objectif :
L’aptitude à trouver du soutien constitue une grande part de la résilience. En identifiant sa place au sein d’une communauté, les rapports bénéfiques que l’on entretient déjà avec les personnes et qui est là pour nous, l’on sait à qui s’adresser en cas de besoin. Le simple fait de savoir que l’on peut compter sur quelqu’un nous aide à être plus résilients face aux épreuves.
Description :
Tisser le soutien
Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes)
Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau de soutien d’autres personnes.
Les participants énoncent tout haut une action qui leur fait particulièrement plaisir ou qui leur remonte le moral quand ils ne vont pas bien. Ils prennent la parole, les uns après les autres, quand ils ont une idée qui peut se rattacher à l’idée précédente : “Quand je ne suis pas en forme, je me fais un chocolat chaud.” à "Pour me remonter le moral, je me fais un café."
À chaque nouvelle idée énoncée, une pelote de laine est déroulée. Une grande toile d’araignée se construit (l'animateur invite les participants à ne pas être trop éloignés les uns des autres pour ne pas que le fil de la toile soit tendu, cela aura son intérêt dans l’étape de débriefing).
L’animateur veille à ce que chaque participant prenne la parole entre une et deux fois (cela sera important pour la suite de l’activité).
Étape 2 : Ce que je peux faire pour les autres et ce qu’ils peuvent faire pour moi (10 minutes)
Ensuite, la pelote de laine est rebobinée et l’activité est réalisée une deuxième fois : cette fois, chaque participant est invité à proposer une action qui pourrait répondre au besoin d’un autre participant. Il va donc falloir faire travailler sa mémoire !
Pour cette étape, les participants auront besoin de l’aide de l’animateur car il faudra faire preuve de créativité pour répondre à des besoins qui peuvent sembler inaccessibles s’ils sont pris au sens strict du terme. Exemple : « Martin dit qu’il a besoin de voyager ». Un autre participant peut proposer un jeu sur le thème du voyage avec un plateau de jeu sous forme d’une carte du monde.
Débriefing
Une fois cette première étape terminée, l’animateur communique les infos ci-dessous aux participants.
Faire partie du groupe de soutien de quelqu’un d’autre est très important pour travailler sa résilience et permet aux scouts de sentir qu’ils sont un élément important de la résilience collective.
Activer le réseau de soutien
Étape 3 : Identifier une personne à soutenir
L’animateur invite les participants à identifier quelqu’un qui traverse une période difficile. Cette personne fait partie ou non des scouts. L'animateur propose à ceux qui le veulent à partager l’information avec le reste du groupe, sans préciser de qui il s’agit : « Dans mon entourage, je connais quelqu’un qui ne peut plus travailler à cause d'une maldie de longue durée.”
Étape 4 : Prendre action
L'animateur propose à chaque participant de réfléchir à une action qu’il pourrait faire pour cette personne dans les prochaines semaines pour lui montrer qu’il est là dans les moments difficiles.
Il est conseillé de choisir des actions très précises (exemple : “aller promener son chien”), cela maximisera les chances que l’action soit mise en œuvre. Pour trouver des idées, les participants peuvent repartir des idées énoncées lors des étapes 1 et 2.
La réflexion peut être menée collectivement mais, in fine, il est important que chaque participant ait identifié une action à mener. Les participants qui le souhaitent peuvent partager leur idée.
Étape 5 : Pour y penser
L’animateur conclut cette animation en proposant à chaque participant de se confectionner un petit bracelet et de l’enfiler au poignet de son choix. Chaque fois que le regard d’un participant se posera dessus, cela lui rappellera l’action qu’il souhaitait réaliser pour soutenir la personne de leur entourage qui traverse une période difficile.
L'animateur peuvt prendre des nouvelles de l'action à meenr au cours des semaines suivantes, sans tomber dans la vérification : “Alors est-ce que tu as bien réalisé ton action ?”. Ce moment, c’est une opportunité qu’on donne aux participants. L’action prévue peut être rappelée aux participants mais il ne faut pas que ça devienne une obligation.
Infos pour l’animateur
Si la personne qui traverse une période en difficulté à laquelle un scout pense est un jeune entre 6 et 18 ans, il peut être intéressant de réfléchir à la possibilité de l’accueillir au sein de l’unité.
Ne pas hésiter à refaire l’activité de l’étape 2 quelques semaines plus tard mais cette fois en énonçant une action qui a été réalisée et qui a fait du bien à une personne.
Contexte Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés. L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages : vivre...
Objectif :
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Description :
Contexte
Le harcèlement est un phénomène qui est ancré dans notre société. Pourra-t-on l’éradiquer un jour ? Qui sait… Une chose est sure : les scouts peuvent y être sensibilisés.
L’Université de Paix a développé une méthodologie qui comporte quatre engrenages :
vivre ensemble (c’est-à-dire faire connaissance, se présenter, jouer en collaboration avec les autres) ;
développer l’empathie (c’est-à-dire permettre à chaque scout de découvrir l’autre et ses sensibilités) ;
décoder les préjugés (c’est-à-dire prendre conscience qu’il nous arrive de catégoriser l’autre) ;
agir contre les phénomènes de harcèlement (c’est-à-dire réfléchir sur nos comportements et leur impact).
Dans le HUB ressources > Activités, tu trouves des animations (comme celle-ci) qui concernent principalement un des quatre engrenages. Pour que le système de prévention soit efficace, propose à ta section des activités issues des quatre familles.
Si d'aventure tu étais amené à agir contre un phénomène de harcèlement présent dans ta section ou ayant un impact sur celle-ci, contacte le service Incidents de la fédération, qui te soutiendra dans cette démarche, par téléphone au 02/508.12.00 ou à l’adresse [email protected]. Tu peux également utiliser le formulaire de signalement qui est à ta disposition.
Des outils à ta disposition
Un apport théorique pour bien comprendre ce qu’est le harcèlement et qui sont les acteurs impliqués
Quelques bonnes pratiques pour animer une discussion
Des points de repère pour garder le cap avec les scouts (aspects légaux, mais aussi humains)
Des conseils pour réagir si un scout se confie
En un clin d’œil
La problématique du harcèlement t’interpelle : visite la page Prévention Harcèlement du site.
Objectifs
Activité
De 10 à 15 scouts par animateur
Distribue trois feuilles à chaque scout avec une séparation au milieu (comme un domino).
Variante
Petit+
Si tu te rends compte en cours d’année que des enfants se moquent d’un autre, prends ces enfants-là à part (sans leur dire que c’est parce qu’ils sont concernés par la situation) et rappelle-leur la conclusion de l’activité « Je suis différent ».
Explique-leur ensuite que tu es inquiet pour untel et que tu souhaiterais mettre quelque chose en place, avec leur aide, pour que ce baladin ou ce louveteau se sente mieux.
Le carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel...
Le carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel accident.
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