Camps à l'étranger : derniers conseils
ActualitéTu pars en camp à l’étranger ? Voici quelques conseils et actions à réaliser avant ton départ !
Posté le 25/05/2023
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Tu pars en camp à l’étranger ? Voici quelques conseils et actions à réaliser avant ton départ !
Posté le 25/05/2023
Les candidatures à la présidence de la fédération sont ouvertes du 24 octobre au 25 novembre.
Posté le 24/10/2022
À quoi sert une charte ? Si l'on prend l’exemple du sport, que faut-il pour pouvoir jouer ensemble ? Comment la concevoir ? Des règles du jeu : les règles pour jouer, vivre et travailler ensemble. Pourquoi ? Qui ? Quoi ? Comment ? Où ? Quand ? Un entrainement avec un entraineur, une équipe qui veille à vivre et jouer dans un bon esprit....
À quoi sert une charte ? Si l'on prend l’exemple du sport, que faut-il pour pouvoir jouer ensemble ?
Comment la concevoir ?
C’est vers ce second volet que tu vas orienter la charte, davantage dans un contexte de coaching de groupe. Elle n’est pas là pour l'encadrer avec des règles ou pour recadrer (on a des règlements pour ça). Construire une charte, en conseil d’unité ou en section, permet de :
Pour définir une charte de collaboration, le mieux est de commencer le travail en petits groupes de deux à quatre personnes. Les échanges sont plus riches, et une mise en commun finale permettra de synthétiser l’avis du groupe dans son ensemble.
Étape 1 : comprendre mon rôle / ton rôle
Par petits groupes, les participant-es complètent chacun-e l’entièreté d'un tableau qui mentionne en quoi consiste le rôle de chacun-e, séparément et ensemble.
Étape 2 : mise en commun
En grand groupe, chacun-e partage ses réflexions. On note sur un tableau récapitulatif les éléments apportés par chacun des sous-groupes.
Étape 3 : établissement de la charte
À partir des éléments partagés lors de l’étape 2, le groupe construit sa charte de collaboration en répondant aux questions :
• « Vers quelle situation idéale veut-on aller ? »
• « De quoi avons-nous besoin ? »
• « Comment aimerions-nous que ce soit ? »
• « Quelle est l’image idéale du groupe ? »
• « Quel type de membre du groupe veux-tu être ? »
Ces questions servent également à ouvrir le débat vers des aspects d’identité et de mission du groupe, qui suscitent plus d’adhésion et de motivation de la part des participant-es.
La charte de collaboration pourra donc contenir des éléments :
La toile d’araignée est un outil qui permet d'identifier les forces et les faiblesses du groupe (d’un staff, par exemple). Elle aidera à évaluer la complémentarité au sein du groupe ainsi que les challenges auxquels il fait face. L’avantage de cet outil est qu’il s'applique à de nombreuses problématiques (complémentarité...
La toile d’araignée est un outil qui permet d'identifier les forces et les faiblesses du groupe (d’un staff, par exemple). Elle aidera à évaluer la complémentarité au sein du groupe ainsi que les challenges auxquels il fait face. L’avantage de cet outil est qu’il s'applique à de nombreuses problématiques (complémentarité des membres en termes de compétences d’animation, de répartition des rôles, de relation, etc. ). Il a donc toute son utilité pour le coaching de groupe.
Une fois que les participant-es se sont accordé-es sur les critères, l'animateur leur demande de compléter individuellement la toile d’araignée nouvellement créée. Dans un climat de bienveillance et de confiance, chacun-e présente son autoévaluation au reste du groupe. Les autres personnes ont alors le loisir de confirmer ou d’infirmer l’autoévaluation, toujours dans ce climat de confiance, en exposant leur point de vue sur base de faits observés.
Lorsque le groupe a passé en revue les toiles d’araignée de tout le monde, celles-ci sont superposées de manière à faire ressortir les zones de confort (les forces) et les challenges du groupe (les faiblesses). Cette étape permet de mettre en évidence, visuellement, les qualités fortement présentes (mais qui peuvent toujours être améliorées) et celles qui nécessitent un plan d’action pour pallier la faiblesse du groupe.
Grâce aux itinéraires Pionniers, tes scouts peuvent découvrir ce qu'est l'animation. Découvre quel rôle tu peux jouer dans cette découverte pour les encourager à devenir animateurs à leur tour !
Posté le 12/01/2024
Pour t’aider à planifier, inventer, créer le camp parfait, nous t’avons rassemblé une série d’outils utiles pour stimuler la créativité du staff, aborder des thématiques particulières avec tes scouts, etc.
Posté le 29/03/2024
Comment améliorer l'animation, l'organisation d'un évènement ou encore le camp ? Il est important de mener la réflexion avec les personnes concernées (par exemple avec les scouts s'il s'agit du camp). Voici trois étapes qui vous permettront de réfléchir ensemble afin de prendre les décisions qui conviendront à...
Comment améliorer l'animation, l'organisation d'un évènement ou encore le camp ?
Il est important de mener la réflexion avec les personnes concernées (par exemple avec les scouts s'il s'agit du camp).
Voici trois étapes qui vous permettront de réfléchir ensemble afin de prendre les décisions qui conviendront à toutes et tous : les 3 C.
Cet exemple montre comment procéder s'il s'agit de faire évoluer le camp (vous pouvez l'adapter à d'autres situations) :
Étape 1
Rappelez aux baladins ou aux louveteaux quel objectif, quelle destination ils et elles ont choisis. (exemple : une journée sportive qui convienne à tout le monde au camp).
Invitez-les ensuite à réfléchir à :
C'est ce qu'on appelle les 3C.
Notez toutes leurs idées sur les affiches.
Étape 2
Ensuite, en grand groupe, identifiez les éléments sur lesquels il y a des désaccords et discutez-en pour parvenir à une entente (exemple : un groupe veut proposer des activités bienêtre, comme du yoga, alors qu'un autre considère que ce n’est pas du sport).
Repérez les idées communes avec lesquelles vous pourrez poursuivre le travail (exemple : tout le monde est d’accord de valoriser les progrès de chaque scout, comme lorsqu’il ou elle améliore un score personnel à la course).
Retirez les éléments qui ne font pas partie des idées communes (exemple : faire monter sur le podium et récompenser quelques enfants seulement).
Étape 3
Enfin, organisez la mise en œuvre des changements sur lesquels vous voulez travailler grâce aux outils d’organisation présentés dans le cahier Des projets pour grandir.
Que faire ? Découvre les démarches à entreprendre.
Posté le 09/05/2023
Étape 1 : activités de mise en situation (35 minutes) Jeu 1 : se déplacer dans l’espace. (15 minutes) Dans cette activité, le participant se rend compte que s’exprimer se fait aussi avec le corps, le regard. Quand il est privé de parole, ses gestes vont prendre le dessus et il va chercher le regard de ses camarades. Privé de tous...
Objectif :
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Description :
Étape 1 : activités de mise en situation (35 minutes)
Jeu 1 : se déplacer dans l’espace. (15 minutes)
Dans cette activité, le participant se rend compte que s’exprimer se fait aussi avec le corps, le regard. Quand il est privé de parole, ses gestes vont prendre le dessus et il va chercher le regard de ses camarades. Privé de tous moyens de communications, il pourrait ne pas se sentir à l’aise et il se peut qu’il ait un comportement plus inhabituel que dans les autres phases de jeux.
Avant de commencer, tu définis une zone précise (le local, une cour, une zone dans la forêt) dans laquelle les participants se promènent. Ils ne peuvent pas se toucher, il est important que la zone soit suffisamment grande.
Chacune des phases de jeu dure environ 2 minutes. Au terme de ce laps de temps, le groupe se rassemble pour passer à la consigne suivante.
Phase 1 : il n’y a aucune consigne lorsque deux participants se rencontrent.
Phase 2 : chaque fois qu’un participant rencontre un camarade, il lui dit bonjour en souriant et en se saluant (soit un coucou de la main, soit une poignée de main).
Phase 3 : ils doivent garder les yeux par terre. Cette phase de jeu étant particulièrement déstabilisante, elle peut durer moins longtemps. Il est possible que les participants soient bruyants, qu’ils rigolent, laisse-les faire. C’est un moyen pour eux d’évacuer leur gêne, tu ne dois pas exiger le silence total.
Au terme de l’activité, demande-leur quelle rencontre ils ont préférée et celle dans laquelle ils se sentaient moins bien. Demande-leur quelles sont les difficultés rencontrées lors de cette activité. Est-ce le fait d’être privé du contact humain ? D’avoir moins de possibilités de communication ?
Jeu 2 : mime en groupe (20 minutes)
Dans cette activité, seul le corps est utilisé comme moyen d’expression, il n’est déjà pas facile de faire un comprendre un mime mais cela s’accentue quand il faut le faire à plusieurs. Les participants doivent se mettre d’accord sur le geste qui illustre le mieux leur message.
Le groupe est divisé en sous-groupe de 6 ou 9 participants. Dans chaque sous-groupe, les enfants sont répartis en équipe de trois. Ils doivent par groupe réussir à mimer une situation ou un mot aux autres (pour t’inspirer, tu peux te baser sur l’Annexe_L_13.1_cartes_mimes.
Dans un premier temps, le trio ne peut pas se parler, ils doivent essayer de se mettre d’accord en silence.
Une fois que chaque trio est passé au moins une fois, ils peuvent se mettre d’accord avant de commencer à mimer. Laisse-leur un laps de temps assez court pour s’accorder, par exemple 20 secondes.
Reste avec ton sous-groupe et pose-leur plusieurs questions, comme :
Étape 2 : ce que je peux dire ou que je ne peux pas dire (45 minutes)
Jeu : Taboo (15 minutes)
Dans cette activité, la liberté d’expression est mise à mal car le participant ne peut pas employer certains mots et cela l’empêche d’avoir un vocabulaire précis et de transmettre son message.
Avant de commencer l’activité, il faut diviser le groupe en sous-groupes de 6 participants avec un animateur qui arbitre la partie.
Les participants jouent par deux, il y a donc dans chaque groupe trois équipes.
Le but du jeu est d’avoir un maximum de cartes par équipe. Pour remporter une carte, le participant doit réussir à faire deviner le mot en couleur sur celle-ci à son compagnon. Cependant, il ne peut pas dire les mots qui sont écrits en dessous de son mot mystère. La durée des manches de jeu est déterminée par un sablier (ou téléphone) de 3 minutes. Une fois le temps écoulé, c’est à une autre équipe de se lancer. Tu peux t’inspirer des cartes qui sont en Annexe_13.2_Taboo.
Avant de rejoindre le reste du groupe, prends le temps avec celui-ci de leur demander ce qu’ils ont pensé de l’activité. Pose-leur une série de questions et laisse-les s’exprimer librement :
Ensuite, fais le lien avec la liberté d’expression : y a-t-il des mots qu’on ne peut pas dire ? Pourquoi ? Lesquels ? …
Ensuite, annonce que c’est cela que vous allez vivre à l’activité suivante.
Pour cette activité, divise le groupe en deux : les 8-10 ans (partie A) et les 10-12 ans (partie B). Si tu juges que ton groupe 10-12 ans n’est pas suffisamment mature, il est tout à fait possible que le groupe entier réalise la partie A.
Partie A :
Répartis les participants en groupe de 4-5 personnes. Distribue-leur des bandelettes avec des phrases écrites dessus issues de l’annexe_13.3_phrases.
Ensuite, demande-leur de les classer, en réfléchissant au début de l’animation, en deux colonnes : « je peux exprimer » et « je ne peux pas exprimer ».
Puis, invite les participants à s’exprimer sur ce qu’ils retiennent de cette activité. Réfléchissez ensemble sur qu’est-ce que la liberté d’expression et qu’est-ce que cela implique :
Partie B :
Pour illustrer concrètement ce que représente la liberté d’expression, lisez ensemble ce témoignage pour Amnesty International de Chekib El Khiari, ancien prisonnier d’opinion : https://www.amnesty.be/infos/actualites/article/temoignage-pour-amnesty.
Tout d’abord, assure-toi de que tout le monde ait compris et réexplique si nécessaire.
Laisse les participants s’exprimer librement sur ce qu’ils ont ressenti à la lecture de ce témoignage. Discutez ensemble de ce que représente la liberté d’expression :
Étape 3 : retour sur ce qui s’est passé (15 minutes)
Dispose les participants en cercle et réalise avec eux une discussion libre. Pose-leur des questions et laisse ceux qui le souhaitent s’exprimer :
Invite chaque participant à réfléchir à ce qu’est la liberté d’expression et de le représenter par un mot ou un dessin sur un grand panneau collectif à afficher dans le local.
Info pour l’animateur
Aborder les questions de libertés n’est pas aisé et encore moins réussir à le faire vivre, il ne faut pas hésiter à se perdre sur des sites internet comme : https://jeunes.amnesty.be/jeunes/lecoindesprofs/plateforme/dossierspedagogiques/dossierpeda2017
https://www.youtube.com/watch?v=eNotd5Q6yxM
https://www.humanium.org/fr/comprendre-droits-enfant/droit-aux-libertes/
Pour aller plus loin…
Quelques idées :
- Faire des photos avec les louveteaux qui représentent, illustrent pour eux la liberté d’expression.
- Amnesty International propose d’envoyer une carte à une personne qui est emprisonnée pour ses opinions, ce geste est gratuit et peut soulager une personne isolée.
Tu prévois un camp à l'étranger ? Découvre toutes les infos utiles (destinations autorisées, les conditions à respecter, préparations à prévoir) !
Posté le 13/03/2023
Le 25 mars prochain, élection d'une nouvelle présidence ! Et on a besoin de toi !
Posté le 08/11/2022
Cette mesure entrera en vigueur le 1er mai. On fait le point.
Posté le 31/01/2024
Le rétroplanning est un outil idéal pour l'organisation d'un évènement qui doit avoir lieu à un moment précis. Intérêt du rétroplanning : Organiser un projet pour respecter une date de fin. Vérifier sa faisabilité dans le temps imparti. Déterminer les étapes et les ressources nécessaires. Établir...
Le rétroplanning est un outil idéal pour l'organisation d'un évènement qui doit avoir lieu à un moment précis.
Intérêt du rétroplanning :
Construire son rétroplanning :
1. Préparer le contenu du projet à planifier
2. Construire le rétroplanning
14h à 17h : flâner à travers les activités proposées :AnimationsAteliers collaboratifsStands des services de la fédération17h : mot de clôture et spectacle18h : apéro et souper
Posté le 17/05/2022
Nouveautés, changements, déclaration d'accident en ligne... On t'explique tout.
Posté le 02/02/2023
Le carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel...
Le carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel accident.
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