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Hub ressourcesDie Pfadfindermethode
BibliothèqueConstituée de sept éléments étroitement liés, la méthode scoute s’adapte à chaque jeune et lui permet d’être acteur de son développement, à travers des jeux, des découvertes et des aventures. Notre méthode, en allemand.
Die Pfadfindermethode
BibliothèqueConstituée de sept éléments étroitement liés, la méthode scoute s’adapte à chaque jeune et lui permet d’être acteur de son développement, à travers des jeux, des découvertes et des aventures.
Notre méthode, en allemand.
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Hub ressourcesSachem 307 : Les Scouts en mouvement pour la paix
BibliothèqueIl y a plus d’un siècle, Baden-Powell a créé un mouvement qui compte désormais plusieurs millions de jeunes, promouvant la paix, la tolérance et la solidarité à travers le monde. Ces valeurs de coopération et de compréhension mutuelle se retrouvent dans notre texte de référence de la Promesse scoute : « Je souhaite,...
Sachem 307 : Les Scouts en mouvement pour la paix
BibliothèqueIl y a plus d’un siècle, Baden-Powell a créé un mouvement qui compte désormais plusieurs millions de jeunes, promouvant la paix, la tolérance et la solidarité à travers le monde. Ces valeurs de coopération et de compréhension mutuelle se retrouvent dans notre texte de référence de la Promesse scoute : « Je souhaite, en mon âme et conscience, me joindre à la fraternité scoute mondiale, rendre le monde meilleur et participer à la construction de la paix. ». Aujourd’hui plus que jamais, ces mots prennent tout leur sens.
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ActivitéTisser le soutien Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes) Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau...
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ActivitéObjectif :
L’aptitude à trouver du soutien constitue une grande part de la résilience. En identifiant sa place au sein d’une communauté, les rapports bénéfiques que l’on entretient déjà avec les personnes et qui est là pour nous, l’on sait à qui s’adresser en cas de besoin. Le simple fait de savoir que l’on peut compter sur quelqu’un nous aide à être plus résilients face aux épreuves.
Description :
Tisser le soutien
Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes)
Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau de soutien d’autres personnes.
Les participants énoncent tout haut une action qui leur fait particulièrement plaisir ou qui leur remonte le moral quand ils ne vont pas bien. Ils prennent la parole, les uns après les autres, quand ils ont une idée qui peut se rattacher à l’idée précédente : “Quand je ne suis pas en forme, je me fais un chocolat chaud.” à "Pour me remonter le moral, je me fais un café."
À chaque nouvelle idée énoncée, une pelote de laine est déroulée. Une grande toile d’araignée se construit (l'animateur invite les participants à ne pas être trop éloignés les uns des autres pour ne pas que le fil de la toile soit tendu, cela aura son intérêt dans l’étape de débriefing).
L’animateur veille à ce que chaque participant prenne la parole entre une et deux fois (cela sera important pour la suite de l’activité).
Étape 2 : Ce que je peux faire pour les autres et ce qu’ils peuvent faire pour moi (10 minutes)
Ensuite, la pelote de laine est rebobinée et l’activité est réalisée une deuxième fois : cette fois, chaque participant est invité à proposer une action qui pourrait répondre au besoin d’un autre participant. Il va donc falloir faire travailler sa mémoire !
Pour cette étape, les participants auront besoin de l’aide de l’animateur car il faudra faire preuve de créativité pour répondre à des besoins qui peuvent sembler inaccessibles s’ils sont pris au sens strict du terme. Exemple : « Martin dit qu’il a besoin de voyager ». Un autre participant peut proposer un jeu sur le thème du voyage avec un plateau de jeu sous forme d’une carte du monde.
Débriefing
Une fois cette première étape terminée, l’animateur communique les infos ci-dessous aux participants.
- Cette toile d’araignée symbolise le réseau qui peut se mettre en place pour se soutenir les uns les autres. Ici, on visualise le réseau de soutien chez les scouts. Mais ces réseaux sont multiples : au niveau familial, scolaire, etc.
- Il est important d’entourer quelqu’un qui ne va pas bien. Un jour, forcément, chacun de nous sera amené à bénéficier de ce réseau de soutien. Les fils de la toile d’araignée agissent comme un filet de trapéziste : si quelqu’un lâche le trapèze, le réseau agit comme un filet de sécurité.
- Même si on s’éloigne, on peut toujours compter les uns sur les autres car le réseau est toujours là, on reste connecté (c'est le moment de reculer d’un pas pour illustrer le fait que les membres du réseau se sont éloignés mais que le lien est toujours présent et qu’il ne casse pas).
Faire partie du groupe de soutien de quelqu’un d’autre est très important pour travailler sa résilience et permet aux scouts de sentir qu’ils sont un élément important de la résilience collective.
Activer le réseau de soutien
Étape 3 : Identifier une personne à soutenir
L’animateur invite les participants à identifier quelqu’un qui traverse une période difficile. Cette personne fait partie ou non des scouts. L'animateur propose à ceux qui le veulent à partager l’information avec le reste du groupe, sans préciser de qui il s’agit : « Dans mon entourage, je connais quelqu’un qui ne peut plus travailler à cause d'une maldie de longue durée.”
Étape 4 : Prendre action
L'animateur propose à chaque participant de réfléchir à une action qu’il pourrait faire pour cette personne dans les prochaines semaines pour lui montrer qu’il est là dans les moments difficiles.
Il est conseillé de choisir des actions très précises (exemple : “aller promener son chien”), cela maximisera les chances que l’action soit mise en œuvre. Pour trouver des idées, les participants peuvent repartir des idées énoncées lors des étapes 1 et 2.
La réflexion peut être menée collectivement mais, in fine, il est important que chaque participant ait identifié une action à mener. Les participants qui le souhaitent peuvent partager leur idée.
Étape 5 : Pour y penser
L’animateur conclut cette animation en proposant à chaque participant de se confectionner un petit bracelet et de l’enfiler au poignet de son choix. Chaque fois que le regard d’un participant se posera dessus, cela lui rappellera l’action qu’il souhaitait réaliser pour soutenir la personne de leur entourage qui traverse une période difficile.
L'animateur peuvt prendre des nouvelles de l'action à meenr au cours des semaines suivantes, sans tomber dans la vérification : “Alors est-ce que tu as bien réalisé ton action ?”. Ce moment, c’est une opportunité qu’on donne aux participants. L’action prévue peut être rappelée aux participants mais il ne faut pas que ça devienne une obligation.
Infos pour l’animateur
Si la personne qui traverse une période en difficulté à laquelle un scout pense est un jeune entre 6 et 18 ans, il peut être intéressant de réfléchir à la possibilité de l’accueillir au sein de l’unité.
Ne pas hésiter à refaire l’activité de l’étape 2 quelques semaines plus tard mais cette fois en énonçant une action qui a été réalisée et qui a fait du bien à une personne.
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ActivitéTisser le soutien Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes) Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau...
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ActivitéObjectif :
L’aptitude à trouver du soutien constitue une grande part de la résilience. En identifiant sa place au sein d’une communauté, les rapports bénéfiques que l’on entretient déjà avec les personnes et qui est là pour nous, l’on sait à qui s’adresser en cas de besoin. Le simple fait de savoir que l’on peut compter sur quelqu’un nous aide à être plus résilients face aux épreuves.
Description :
Tisser le soutien
Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes)
Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau de soutien d’autres personnes.
Les participants énoncent tout haut une action qui leur fait particulièrement plaisir ou qui leur remonte le moral quand ils ne vont pas bien. Ils prennent la parole, les uns après les autres, quand ils ont une idée qui peut se rattacher à l’idée précédente : “Quand je ne suis pas en forme, je me fais un chocolat chaud.” à "Pour me remonter le moral, je me fais un café."
À chaque nouvelle idée énoncée, une pelote de laine est déroulée. Une grande toile d’araignée se construit (l'animateur invite les participants à ne pas être trop éloignés les uns des autres pour ne pas que le fil de la toile soit tendu, cela aura son intérêt dans l’étape de débriefing).
L’animateur veille à ce que chaque participant prenne la parole entre une et deux fois (cela sera important pour la suite de l’activité).
Étape 2 : Ce que je peux faire pour les autres et ce qu’ils peuvent faire pour moi (10 minutes)
Ensuite, la pelote de laine est rebobinée et l’activité est réalisée une deuxième fois : cette fois, chaque participant est invité à proposer une action qui pourrait répondre au besoin d’un autre participant. Il va donc falloir faire travailler sa mémoire !
Pour cette étape, les participants auront besoin de l’aide de l’animateur car il faudra faire preuve de créativité pour répondre à des besoins qui peuvent sembler inaccessibles s’ils sont pris au sens strict du terme. Exemple : « Martin dit qu’il a besoin de voyager ». Un autre participant peut proposer un jeu sur le thème du voyage avec un plateau de jeu sous forme d’une carte du monde.
Débriefing
Une fois cette première étape terminée, l’animateur communique les infos ci-dessous aux participants.
- Cette toile d’araignée symbolise le réseau qui peut se mettre en place pour se soutenir les uns les autres. Ici, on visualise le réseau de soutien chez les scouts. Mais ces réseaux sont multiples : au niveau familial, scolaire, etc.
- Il est important d’entourer quelqu’un qui ne va pas bien. Un jour, forcément, chacun de nous sera amené à bénéficier de ce réseau de soutien. Les fils de la toile d’araignée agissent comme un filet de trapéziste : si quelqu’un lâche le trapèze, le réseau agit comme un filet de sécurité.
- Même si on s’éloigne, on peut toujours compter les uns sur les autres car le réseau est toujours là, on reste connecté (c'est le moment de reculer d’un pas pour illustrer le fait que les membres du réseau se sont éloignés mais que le lien est toujours présent et qu’il ne casse pas).
Faire partie du groupe de soutien de quelqu’un d’autre est très important pour travailler sa résilience et permet aux scouts de sentir qu’ils sont un élément important de la résilience collective.
Activer le réseau de soutien
Étape 3 : Identifier une personne à soutenir
L’animateur invite les participants à identifier quelqu’un qui traverse une période difficile. Cette personne fait partie ou non des scouts. L'animateur propose à ceux qui le veulent à partager l’information avec le reste du groupe, sans préciser de qui il s’agit : « Dans mon entourage, je connais quelqu’un qui ne peut plus travailler à cause d'une maldie de longue durée.”
Étape 4 : Prendre action
L'animateur propose à chaque participant de réfléchir à une action qu’il pourrait faire pour cette personne dans les prochaines semaines pour lui montrer qu’il est là dans les moments difficiles.
Il est conseillé de choisir des actions très précises (exemple : “aller promener son chien”), cela maximisera les chances que l’action soit mise en œuvre. Pour trouver des idées, les participants peuvent repartir des idées énoncées lors des étapes 1 et 2.
La réflexion peut être menée collectivement mais, in fine, il est important que chaque participant ait identifié une action à mener. Les participants qui le souhaitent peuvent partager leur idée.
Étape 5 : Pour y penser
L’animateur conclut cette animation en proposant à chaque participant de se confectionner un petit bracelet et de l’enfiler au poignet de son choix. Chaque fois que le regard d’un participant se posera dessus, cela lui rappellera l’action qu’il souhaitait réaliser pour soutenir la personne de leur entourage qui traverse une période difficile.
L'animateur peuvt prendre des nouvelles de l'action à meenr au cours des semaines suivantes, sans tomber dans la vérification : “Alors est-ce que tu as bien réalisé ton action ?”. Ce moment, c’est une opportunité qu’on donne aux participants. L’action prévue peut être rappelée aux participants mais il ne faut pas que ça devienne une obligation.
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Ne pas hésiter à refaire l’activité de l’étape 2 quelques semaines plus tard mais cette fois en énonçant une action qui a été réalisée et qui a fait du bien à une personne.
Vie relationnelle, affective et sexuelle (VRAS)
Hub ressourcesKit résilience
Hub ressourcesHarcèlement : apport théorique
BibliothèqueDans ce document, tu trouves une définition du harcèlement, ainsi que des conseils pour t'aider dans ton rôle d'animateur.
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TéléchargerLa boîte déguisement
BibliothèqueSe servir d'une grosse caisse comme déguisement, elle peut se transformer au gré de l'imagination et des besoins.
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TéléchargerGuide réglementaire du scoutisme français 2020
BibliothèqueToutes les règles à respecter lorsqu'on part en camp en France. Edité par le Scoutisme Français.
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Edité par le Scoutisme Français.
TéléchargerMaroc - Mains volontaires sans frontières
Espace Camps1. Chantier Du 01.07.2012 au 07.07.2012 On a aidé le village à améliorer la piste (route principale) qui serpente à travers celui-ci. Le village est en basse montagne au début de l'Atlas. Dans l'état actuel, il est assez difficile d'accès en voiture, il faut dire aussi que presqu'aucun des villageois n'en possède. Il y a un système de taxis/navettes/camionettes qui fait la liaison...
Maroc - Mains volontaires sans frontières
Espace CampsObjectif :
Camp au Maroc. Une nuit à Marrakech. Une semaine de chantier dans un village près d'Imoulass au Nord de Taroudant suivi d'un trek de deux jours. Puis visite de Taroudant (1 jour), visite d'Essaouira (2 nuits), visite des cascades d'Ouzoud (2 nuits). Une nuit à Marrakech. Retour via Madrid.
Description :
1. Chantier Du 01.07.2012 au 07.07.2012 On a aidé le village à améliorer la piste (route principale) qui serpente à travers celui-ci. Le village est en basse montagne au début de l'Atlas. Dans l'état actuel, il est assez difficile d'accès en voiture, il faut dire aussi que presqu'aucun des villageois n'en possède. Il y a un système de taxis/navettes/camionettes qui fait la liaison entre le village et Taroudant (1h30 de route). Donc pour le chantier en lui même on a égalisé la piste sur certains tronçons, construit un renforçement en pierre, fait du ciment à la main (bèches, brouettes, gravier, ciment, ...). Le résultat n'est pas fantastique ni d'excellente qualité mais on pense que ça les aidera quand même. Tout a été fait avec l'aide des villageois. Il fait quand même assez chaud sur place, donc ce n'est pas toujours facile de travailler. Du coup on bosse tôt le matin (8h à 10-11h) puis le soir de 18 à 20 +. Il faut savoir que les villageois n'ont pas d'heure d'été donc ils ont encore une heure de décalage de plus que le Maroc par rapport à l'heure belge d'été. Clairement le plus dur pendant la première semaine (celle au village) a été l'accès à une nourriture de qualité. On était à 1h30 en voiture de la ville et sans voiture. Donc on dépendait de Mehdi pour faire des courses. Et puis on devait faire des courses pour plusieurs jours pour 14 personnes sans moyen de conservation digne de ce nom (un frigo pas top dans une chaleur ...). 2. Trek et découvertes Du 08.07.2012 au 16.07.2012 3. Retour par Madrid Du 17.07.2012 au 18.07.2012 Retour par Madrid Conseils à donner aux autres postes qui souhaitent vivre ce projet: Faire un travail préparatoire avec les pis sur les conditions sur place. La semaine au village est dure, il fait chaud, il faut travailler, la ville est loin et c'est pas facile d'avoir de la nourriture fraîche tous les jours. Prévoir des animations pour les gosses du village si ça fait partie des envies des pionniers.