Un an de guerre en Ukraine
ActualitéCe 24 février, cela fait un an que la guerre en Ukraine a éclaté. Découvre le témoignage d’un des animateurs de l'unité de Vyle-Marchin, qui accueille de jeunes Ukrainiens.
Posté le 24/02/2023
1086 résultats ont été trouvés pour votre recherche
Ce 24 février, cela fait un an que la guerre en Ukraine a éclaté. Découvre le témoignage d’un des animateurs de l'unité de Vyle-Marchin, qui accueille de jeunes Ukrainiens.
Posté le 24/02/2023
Nouveautés, changements, déclaration d'accident en ligne... On t'explique tout.
Posté le 02/02/2023
Voici une technique pour que tout le monde parle au conseil. Chaque participant-e reçoit un bout de ficelle de longueur égale. Chaque personne doit parler à son tour, tout en enroulant sa ficelle autour de son index. Quand toute la ficelle est enroulée, le temps de parole est terminé.
Voici une technique pour que tout le monde parle au conseil.
Découvre une sélection d'infos pratiques pour t'aider à préparer ton camp : transports, intendance, pharmacie...
Posté le 26/04/2024
Cette activité permet de sélectionner l'un ou l'autre projet parmi plusieurs. Le groupe commence par dresser une liste de toutes les propositions. Ensuite, pour chaque idée, chaque participant-e remplit une petite feuille comptant trois colonnes. Dans la première, on inscrit ce que l'on apprécie dans cette idée ; dans une autre, ce que l'on...
Cette activité permet de sélectionner l'un ou l'autre projet parmi plusieurs.
Réfléchir et trouver des solutions en grand groupe s'avère difficile. Une solution est de diviser la réflexion dans des petits groupes pour favoriser les échanges. Déroulement : Pour trouver plusieurs pistes de solution à un problème, les participant-es sont divisés en différents groupes. Chaque...
Réfléchir et trouver des solutions en grand groupe s'avère difficile.
Une solution est de diviser la réflexion dans des petits groupes pour favoriser les échanges.
Déroulement :
(Source: L’enseignement de base en Afrique Noire : pédagogie des grands groupes et formation des maitres, Philippe RENARD, Université de Mons).
La campagne calendrier bat son plein. À toi de jouer !
Posté le 10/10/2022
Tisser le soutien Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes) Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau...
Objectif :
L’aptitude à trouver du soutien constitue une grande part de la résilience. En identifiant sa place au sein d’une communauté, les rapports bénéfiques que l’on entretient déjà avec les personnes et qui est là pour nous, l’on sait à qui s’adresser en cas de besoin. Le simple fait de savoir que l’on peut compter sur quelqu’un nous aide à être plus résilients face aux épreuves.
Description :
Tisser le soutien
Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes)
Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau de soutien d’autres personnes.
Les participants énoncent tout haut une action qui leur fait particulièrement plaisir ou qui leur remonte le moral quand ils ne vont pas bien. Ils prennent la parole, les uns après les autres, quand ils ont une idée qui peut se rattacher à l’idée précédente : “Quand je ne suis pas en forme, je me fais un chocolat chaud.” à "Pour me remonter le moral, je me fais un café."
À chaque nouvelle idée énoncée, une pelote de laine est déroulée. Une grande toile d’araignée se construit (l'animateur invite les participants à ne pas être trop éloignés les uns des autres pour ne pas que le fil de la toile soit tendu, cela aura son intérêt dans l’étape de débriefing).
L’animateur veille à ce que chaque participant prenne la parole entre une et deux fois (cela sera important pour la suite de l’activité).
Étape 2 : Ce que je peux faire pour les autres et ce qu’ils peuvent faire pour moi (10 minutes)
Ensuite, la pelote de laine est rebobinée et l’activité est réalisée une deuxième fois : cette fois, chaque participant est invité à proposer une action qui pourrait répondre au besoin d’un autre participant. Il va donc falloir faire travailler sa mémoire !
Pour cette étape, les participants auront besoin de l’aide de l’animateur car il faudra faire preuve de créativité pour répondre à des besoins qui peuvent sembler inaccessibles s’ils sont pris au sens strict du terme. Exemple : « Martin dit qu’il a besoin de voyager ». Un autre participant peut proposer un jeu sur le thème du voyage avec un plateau de jeu sous forme d’une carte du monde.
Débriefing
Une fois cette première étape terminée, l’animateur communique les infos ci-dessous aux participants.
Faire partie du groupe de soutien de quelqu’un d’autre est très important pour travailler sa résilience et permet aux scouts de sentir qu’ils sont un élément important de la résilience collective.
Activer le réseau de soutien
Étape 3 : Identifier une personne à soutenir
L’animateur invite les participants à identifier quelqu’un qui traverse une période difficile. Cette personne fait partie ou non des scouts. L'animateur propose à ceux qui le veulent à partager l’information avec le reste du groupe, sans préciser de qui il s’agit : « Dans mon entourage, je connais quelqu’un qui ne peut plus travailler à cause d'une maldie de longue durée.”
Étape 4 : Prendre action
L'animateur propose à chaque participant de réfléchir à une action qu’il pourrait faire pour cette personne dans les prochaines semaines pour lui montrer qu’il est là dans les moments difficiles.
Il est conseillé de choisir des actions très précises (exemple : “aller promener son chien”), cela maximisera les chances que l’action soit mise en œuvre. Pour trouver des idées, les participants peuvent repartir des idées énoncées lors des étapes 1 et 2.
La réflexion peut être menée collectivement mais, in fine, il est important que chaque participant ait identifié une action à mener. Les participants qui le souhaitent peuvent partager leur idée.
Étape 5 : Pour y penser
L’animateur conclut cette animation en proposant à chaque participant de se confectionner un petit bracelet et de l’enfiler au poignet de son choix. Chaque fois que le regard d’un participant se posera dessus, cela lui rappellera l’action qu’il souhaitait réaliser pour soutenir la personne de leur entourage qui traverse une période difficile.
L'animateur peuvt prendre des nouvelles de l'action à meenr au cours des semaines suivantes, sans tomber dans la vérification : “Alors est-ce que tu as bien réalisé ton action ?”. Ce moment, c’est une opportunité qu’on donne aux participants. L’action prévue peut être rappelée aux participants mais il ne faut pas que ça devienne une obligation.
Infos pour l’animateur
Si la personne qui traverse une période en difficulté à laquelle un scout pense est un jeune entre 6 et 18 ans, il peut être intéressant de réfléchir à la possibilité de l’accueillir au sein de l’unité.
Ne pas hésiter à refaire l’activité de l’étape 2 quelques semaines plus tard mais cette fois en énonçant une action qui a été réalisée et qui a fait du bien à une personne.
Tisser le soutien Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes) Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau...
Objectif :
L’aptitude à trouver du soutien constitue une grande part de la résilience. En identifiant sa place au sein d’une communauté, les rapports bénéfiques que l’on entretient déjà avec les personnes et qui est là pour nous, l’on sait à qui s’adresser en cas de besoin. Le simple fait de savoir que l’on peut compter sur quelqu’un nous aide à être plus résilients face aux épreuves.
Description :
Tisser le soutien
Étape 1 : Ce qui me fait du bien (10 minutes)
Pour entamer l’activité, l’animateur explique aux participants qu’il s’agit d’un temps pour visualiser le réseau de soutien qui nous entoure mais aussi pour prendre conscience que l’on fait soi-même partie du réseau de soutien d’autres personnes.
Les participants énoncent tout haut une action qui leur fait particulièrement plaisir ou qui leur remonte le moral quand ils ne vont pas bien. Ils prennent la parole, les uns après les autres, quand ils ont une idée qui peut se rattacher à l’idée précédente : “Quand je ne suis pas en forme, je me fais un chocolat chaud.” à "Pour me remonter le moral, je me fais un café."
À chaque nouvelle idée énoncée, une pelote de laine est déroulée. Une grande toile d’araignée se construit (l'animateur invite les participants à ne pas être trop éloignés les uns des autres pour ne pas que le fil de la toile soit tendu, cela aura son intérêt dans l’étape de débriefing).
L’animateur veille à ce que chaque participant prenne la parole entre une et deux fois (cela sera important pour la suite de l’activité).
Étape 2 : Ce que je peux faire pour les autres et ce qu’ils peuvent faire pour moi (10 minutes)
Ensuite, la pelote de laine est rebobinée et l’activité est réalisée une deuxième fois : cette fois, chaque participant est invité à proposer une action qui pourrait répondre au besoin d’un autre participant. Il va donc falloir faire travailler sa mémoire !
Pour cette étape, les participants auront besoin de l’aide de l’animateur car il faudra faire preuve de créativité pour répondre à des besoins qui peuvent sembler inaccessibles s’ils sont pris au sens strict du terme. Exemple : « Martin dit qu’il a besoin de voyager ». Un autre participant peut proposer un jeu sur le thème du voyage avec un plateau de jeu sous forme d’une carte du monde.
Débriefing
Une fois cette première étape terminée, l’animateur communique les infos ci-dessous aux participants.
Faire partie du groupe de soutien de quelqu’un d’autre est très important pour travailler sa résilience et permet aux scouts de sentir qu’ils sont un élément important de la résilience collective.
Activer le réseau de soutien
Étape 3 : Identifier une personne à soutenir
L’animateur invite les participants à identifier quelqu’un qui traverse une période difficile. Cette personne fait partie ou non des scouts. L'animateur propose à ceux qui le veulent à partager l’information avec le reste du groupe, sans préciser de qui il s’agit : « Dans mon entourage, je connais quelqu’un qui ne peut plus travailler à cause d'une maldie de longue durée.”
Étape 4 : Prendre action
L'animateur propose à chaque participant de réfléchir à une action qu’il pourrait faire pour cette personne dans les prochaines semaines pour lui montrer qu’il est là dans les moments difficiles.
Il est conseillé de choisir des actions très précises (exemple : “aller promener son chien”), cela maximisera les chances que l’action soit mise en œuvre. Pour trouver des idées, les participants peuvent repartir des idées énoncées lors des étapes 1 et 2.
La réflexion peut être menée collectivement mais, in fine, il est important que chaque participant ait identifié une action à mener. Les participants qui le souhaitent peuvent partager leur idée.
Étape 5 : Pour y penser
L’animateur conclut cette animation en proposant à chaque participant de se confectionner un petit bracelet et de l’enfiler au poignet de son choix. Chaque fois que le regard d’un participant se posera dessus, cela lui rappellera l’action qu’il souhaitait réaliser pour soutenir la personne de leur entourage qui traverse une période difficile.
L'animateur peuvt prendre des nouvelles de l'action à meenr au cours des semaines suivantes, sans tomber dans la vérification : “Alors est-ce que tu as bien réalisé ton action ?”. Ce moment, c’est une opportunité qu’on donne aux participants. L’action prévue peut être rappelée aux participants mais il ne faut pas que ça devienne une obligation.
Infos pour l’animateur
Si la personne qui traverse une période en difficulté à laquelle un scout pense est un jeune entre 6 et 18 ans, il peut être intéressant de réfléchir à la possibilité de l’accueillir au sein de l’unité.
Ne pas hésiter à refaire l’activité de l’étape 2 quelques semaines plus tard mais cette fois en énonçant une action qui a été réalisée et qui a fait du bien à une personne.
Depuis quelques années, les communes mettent en place des règlements généraux de police (RGP) spécifiques pour les camps. L’intention est bonne étant donné que ces règlements visent à assurer le bon déroulement des camps et à favoriser des relations harmonieuses avec les riverains. Toutefois, lorsqu’ils sont rédigés en réponse à des problématiques récurrentes, ils peuvent devenir...
Posté le 03/11/2023
Des règlements de police qui impactent les camps Des règlements de police qui impactent les camps Carole, chargée de projets relations extérieures Gilles, animateur fédéral relations extérieures Carole Gilles Depuis quelques années, les communes mettent en place des règlements généraux de police (RGP) spécifiques pour les camps. L’intention est bonne étant donné que ces règlements visent à assurer le bon déroulement des camps et à favoriser des relations harmonieuses avec les riverains. Toutefois, lorsqu’ils sont rédigés en réponse à des problématiques récurrentes, ils peuvent devenir excessifs et avoir un impact réel sur l’organisation de ton camp. Explications. Alcool, hike, musique amplifiée... Les règlements généraux de police touchent différents sujets (alcool, hike, musique amplifiée…) et peuvent mener, dans certaines communes, aux mesures suivantes : tolérance zéro en ce qui concerne l’alcool ; interdiction des hikes sans accompagnement d’une personne majeure ; limitation de la hauteur des pilotis ; interdiction de diffuser de la musique amplifiée... Pour corser le tout, les autorités communales étant responsables de la rédaction de ces règlements, ils varient généralement d’un endroit à l’autre. Résultat, il est indispensable que tu t’informes chaque année sur le règlement en vigueur dans la commune où se déroule ton camp, et ce pour éviter les mauvaises surprises. Des surprises qui pourraient au mieux, chambouler l’agenda du camp (démontage et remontage des pilotis, annulation du hike), au pire, vous couter de l’argent. Deux conseils donc : Lorsque tu cherches un endroit de camp : renseigne-toi pour choisir ton endroit en connaissance de cause. Lors de la préparation de ton camp : vérifie une fois encore ; les règlements peuvent évoluer d’année en année. En français s'il vous plait... Le règlement général de police (RGP) régit les matières relevant des missions de la commune notamment en termes de propreté, de sécurité et tranquillité des espaces publics. Or, à moins d’avoir dans ton staff un étudiant en droit habitué aux textes législatifs, la lecture et la compréhension du règlement peuvent être ardues. La plupart des communes mettent donc à disposition des vadémécums qui résument le contenu de ces RGP en termes accessibles au commun des mortels ! Tu es en camp dans une commune germanophone ou néerlandophone ? Des versions francophones de ces règlements devraient exister, n’hésite pas à poser la question. Mais que fait la fédé ?! La question des règlements touchant aux camps est un sujet qui nous occupe depuis plusieurs années. Tout d’abord, nous défendons les droits de nos membres en nous opposant à des règles abusives. Cela dit, ces règlements pouvant vraiment servir le bon déroulement des camps, nous cherchons donc aussi à les améliorer et, tant que possible, à les harmoniser. Oui, mais voilà, c’est un travail de longue haleine ! D’ici à ce qu’on fasse des miracles, tu as donc deux missions : Renseigne-toi pour ne pas commettre d’impair durant ton camp. Soigne ton image et celle de ta section. Et mes droits dans tout ça ? Si tu as le sentiment que certaines mesures sont abusives, contacte-nous. Il est important de respecter les règles, mais celles-ci doivent également respecter les droits de chacun. Et donc... on cherche où ? Tu peux toujours en discuter avec le propriétaire de l’endroit, mais il ne sera peut-être pas très au clair sur le sujet. La source d’information la plus fiable reste donc la commune. Tu devrais trouver le règlement sur son site web. Cela dit, le plus simple reste de contacter directement l’administration communale.
AfficherLa campagne 2024 bat son plein ! Toutes les infos se trouvent ici.
Posté le 23/06/2023
Tu l’as sans doute remarqué, on parle pas mal des mouvements de jeunesse en ce moment, dans la presse. Sujet : les camps 2023 et notre recherche active d’endroits.
Posté le 17/05/2022
Cette technique de vote permet aux participant-es d'exprimer leur avis à propos de plusieurs éléments en même temps. Elle permet ensuite de classer, hiérarchiser, ces éléments et d'en dégager une tendance finale. En cela, on peut dire que cette technique de vote est nuancée. Déroulement : Établir...
Cette technique de vote permet aux participant-es d'exprimer leur avis à propos de plusieurs éléments en même temps. Elle permet ensuite de classer, hiérarchiser, ces éléments et d'en dégager une tendance finale. En cela, on peut dire que cette technique de vote est nuancée.
Déroulement :
(Source: Prendre des décisions collectives avec des méthodes participatives,Tony NOCE, Chronique Sociale, Lyon, 2009).
Cotisations des membres, vente des calendriers et subventions constituent l’essentiel des recettes de la fédération. Mais à quoi cet argent sert-il exactement ? De quels services chaque membre bénéficie-t-il ?
Posté le 16/06/2023
Combien ça coute ? Combien ça coute ? Robin, animateur fédéral chargé de la gestion Robin Cotisations des membres, vente des calendriers et subventions constituent l’essentiel des recettes de la fédération. Mais à quoi cet argent sert-il exactement ? De quels services chaque membre bénéficie-t-il ? https://media.giphy.com/media/67ThRZlYBvibtdF9JH/giphy.gif À quoi sert la cotisation que je paie ? La cotisation de l’unité couvre souvent des frais de fonctionnement. Son montant est défini par l’animateur d’unité en fonction des besoins financiers de l’unité. Ces frais divers peuvent inclure : le loyer et les charges du local (entretien, chauffage, eau, assurance) ; une participation à la caisse de solidarité de l’unité ; le matériel d’animation ; les gouters ; des sorties diverses. La cotisation fédérale est versée par l’unité à la fédération. Afin d’assurer que le scoutisme soit accessible à tous, son montant est volontairement bas. Il couvre : l’assurance responsabilité civile et dommages corporels des membres ; une participation aux mécanismes de solidarité fédérale ; le financement de nombreux services aux membres (création de supports pédagogiques, publication des revues, formations des animateurs, etc.). Une place pour chacun Nous souhaitons que chaque enfant, quelle que soit sa situation socioéconomique, puisse être scout. Pour permettre cela, la fédération consacre une partie de son budget à des mécanismes de solidarité permettant que l’argent ne soit pas un frein à la participation des jeunes : La cotisation de solidarité fédérale est une cotisation réduite (minimum 5€) qui offre la possibilité (en cas de besoin et si la caisse de solidarité de l'unité ne peut pas jouer) de devenir membre à part entière de la fédération et de son unité. Les fonds solidarité weekend et camps sont destinés à diminuer le prix de ces activités scoutes demandé aux parents afin de permettre à tous les scouts d’y participer. Une fédération d'unités En s’inscrivant dans l’unité du quartier, votre enfant a rejoint une fédération qui en compte aujourd’hui plus de 400. Le fait de se rassembler permet de mettre en commun les moyens pour le bénéfice de tous, en mettant tout en œuvre pour valoriser chaque euro. Nos missions sociales Offrir de nombreux services à nos membres à travers notre structure professionnelle de 60 employés : production d’outils pédagogiques, communications multiples, gestion des incidents, développement de plateformes web et applications, soutien administratif, financier et légal. Offrir à nos membres des évènements fédéraux et développer la fraternité scoute à prix d’ami. Proposer à nos bénévoles des formations adaptées à leurs missions à prix réduit (plus de 50% des frais liés à l’organisation des formations sont pris en charge par la fédération). Envie de nous aider davantage ? En achetant un magnifique calendrier scout au prix de 7€, vous permettez aux unités de récolter 3€ pour couvrir leurs frais de fonctionnement, acheter du matériel ou développer leurs projets. Le solde restant sert à couvrir la réalisation du calendrier et alimenter nos mécanismes de solidarité fédéraux. Vous pouvez également faire un don pour soutenir le scoutisme et son impact sociétal positif. Toute contribution égale ou supérieure à 40€ sur le compte IBAN : BE14 6300 1136 vous donne droit à une attestation fiscale qui permet de récupérer 45% de votre don.
AfficherDécouvre nos outils et conseils pour garantir le bienêtre et la sécurité des scouts durant les camps.
Posté le 27/06/2023
Le carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel...
Le carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel accident.
Télécharger