Gestion de la balsamine de l’Himalaya en bordure de cours d’eau
ScoutmainLes bénévoles longent le cours d’eau et arrachent les plantes invasives présentent sur les berges.
942 résultats ont été trouvés pour votre recherche
Les bénévoles longent le cours d’eau et arrachent les plantes invasives présentent sur les berges.
Objectif :
Cette action fait partie d’un vaste projet de gestion des plantes invasives en bordure de cours d’eau sur le sous-bassin de la Haine. L’objectif est d’éradiquer la balsamine de l’Himalaya pour favoriser des espèces végétales indigènes et améliorer la biodiversité le long des rivières.
Description :
Les bénévoles longent le cours d’eau et arrachent les plantes invasives présentent sur les berges.
Attentes des volontaires :
Les gestions peuvent s’avérer éprouvantes physiquement. Il est donc nécessaire que les bénévoles aient une bonne condition physique.
Sur le terrain, les scouts doivent se montrer rigoureux afin de garantir l’efficacité de l’opération.
La zone de travail pouvant être difficile d’accès (broussailleux, pentus), les scouts se doivent d’être prudents et à l’écoute des consignes de sécurité.
Accompagnement pédagogique prévu :
Minimum un représentant du Contrat de Rivière Haine sera présent pour encadrer les jeunes et expliquer les enjeux de la lutte contre les espèces invasives.
Au-delà de la gestion, la journée se veut aussi être une journée d’échange en vue de faire connaître les différentes actions menées par notre asbl. Enfin, l’activité est aussi l’occasion de découvrir un site N2000 emblématique du sous-bassin de la Haine.
Nous sommes partis le 28 juin 2019 de Dusseldorf pour un vol de 4h vers Istanbul et ensuite 9h vers kilimandjaro Airport. Arrivés sur place, nous avons été directement pris en charge par notre contact local qui nous a amené à notre famille d'accueil ( de belles chambres étaient aménagées, douches, lits ,.. Fin bref, on avait pas à se plaindre. Les deux semaines, nous nous sommes...
Objectif :
Accueil dans une famille d'accueil pendant 17 jours, nous nous sommes occupés de : - La rénovation d'une école primaire dans les hauteurs d'Arusha. - Animer des petits de 6 à 16 ans dans ce qu'ils appellent la librairie - Donner des cours d'anglais, de mathématique et autre à différents âges - Découvrir une nouvelle culture, mode de vie différent Projet réalisé avec la collaboration de The White Rose. https://whiterosengo.weebly.com
Description :
Nous sommes partis le 28 juin 2019 de Dusseldorf pour un vol de 4h vers Istanbul et ensuite 9h vers kilimandjaro Airport. Arrivés sur place, nous avons été directement pris en charge par notre contact local qui nous a amené à notre famille d'accueil ( de belles chambres étaient aménagées, douches, lits ,.. Fin bref, on avait pas à se plaindre. Les deux semaines, nous nous sommes engagés à aider à la rénovation d'une école primaire dans la ville d'Arusha. Pendant les week-end, nous avons fait une belle promenade pour aller voir le parc naturel et une fabuleuse chute d'eau et nous avons fait un safari de 2 jours dans le parc national du Tarangire Projet tout de même couteux : 1350 euro par personne ( 799 avion, 180 de logement , 180 safari et le reste c'est de l'argent utilisé sur place )
Etape 1 : respect ? (10 minutes) Réfléchis avec ton groupe sur la notion de respect. Commencez par faire un brainstorming en écrivant « respect » au milieu d’une feuille A3. Pour que tous les participants puissent s’exprimer, divise ton groupe en petits groupes de 15 personnes. Une fois que tout le monde a pu donner ses idées,...
Objectif :
/
Description :
Etape 1 : respect ? (10 minutes)
Réfléchis avec ton groupe sur la notion de respect. Commencez par faire un brainstorming en écrivant « respect » au milieu d’une feuille A3. Pour que tous les participants puissent s’exprimer, divise ton groupe en petits groupes de 15 personnes. Une fois que tout le monde a pu donner ses idées, rassemblez-vous en groupe et lisez l’ensemble des mots. Chacun s’exprime librement sur les mots donnés. Définissez ensemble ce qu’est le respect : Respecter, c’est penser et agir positivement avec autrui comme avec soi-même (respect de soi). Respecter implique de se soucier de l’impact de nos actes sur autrui, d’être inclusif et d’accepter les autres pour ce qu’ils sont, même lorsqu’ils sont différents.
Étape 2 : le mousquetaire - favoriser l’empathie (20 minutes)
Il s’agit de faire jouer ensemble plusieurs équipes de 4 enfants. Dans chaque équipe, les enfants ont chacun une position corporelle difficile à tenir :
Les trois joueurs qui tiennent une position peuvent appeler le joker mais aucun ne peut appeler pour lui-même : il faudra que les membres de l’équipe soient attentifs les uns aux autres afin de déceler les signes de faiblesse qui annoncent la difficulté vécue par un des trois joueurs en place (rictus, grimaces, souffles, rougeurs, muscles qui tremblent…) et appeler le joker pour qu’il prenne la place du membre en difficulté. Le joker doit également être attentif à ses coéquipiers pour anticiper une demande d’aide et proposer de relayer le membre de l’équipe sur le point de défaillir.
Le groupe qui tient le plus longtemps toutes les positions gagne (on peut aussi éliminer tout esprit de compétition dans ce jeu en fixant une durée à atteindre ou alors en incitant chaque équipe à améliorer sa durée d’une manche à l’autre).
Selon l’âge des joueurs et leur familiarité avec ce jeu, on pourra proposer des positions de départ plus ou moins complexes. On peut également introduire des manches au départ où les joueurs pourront appeler le joker pour eux-mêmes.
Un moment réflexif en fin de jeu permet de conscientiser les acquis visés par ce jeu :
Étape 3 : (25 minutes)
Avant de lancer l’activité, fais de petits coups sur certaines pommes. Ensuite, présente-les au groupe, elles semblent toutes pareilles et pourtant elles sont toutes uniques. Sans la gouter, on peut remarquer qu’elles sont différentes. Elles ont des couleurs différentes, des formes différentes…
Distribue une pomme par petit groupe. Ils vont créer une vie à leur pomme, lui donner un nom, un métier, un âge… Laisse-les réfléchir pendant une dizaine de minutes sur les caractéristiques uniques de leur pomme. Donne-leur des feuilles et de quoi écrire pour les aider. Une fois qu’ils ont terminé, un membre de chaque groupe présente la pomme au reste du groupe.
Ensuite, découpe les pommes en deux et demande-leur ce qu’ils observent. Les pommes qui ont des tâches sont celles qui ont reçu des coups.
Il est important lors de cette échange de leur faire remarquer que les pommes semblaient très semblables. Ils se sont appropriés le fruit ce qui l’a rendu unique à leurs yeux. En définitive, bien qu’on se ressemble, on a tous des yeux, une bouche, un nez, on est tous différents. D’autre part, on a tous reçu des coups et même s’ils ne se voient pas à première vue, ils sont là et ils ont façonné notre personnalité.
Étape 4 : mise en commun sur le respect (20 minutes)
Voici une activité pour permettre de s’exprimer et de trouver sa place en tenant compte du point de vue de chacun, de sa manière de réagir, ses forces et ses faiblesses.
Dans un premier temps, choisis 10 phrases parmi la liste proposée dans l’annexe_L_14.1_phrases, ou crées-en de nouvelles, à propos desquelles il faudra donner son point de vue. Il peut s’agir de sujets sur lesquels le groupe est probablement d’accord, mais aussi de sujets pour lesquels ils ne seront pas tous du même avis.
Tout le monde est assis, afin d’être visible par les autres. On désigne un responsable “lecture” et un responsable “signal”. Chaque participant cache une main sous la table (ou dans son dos). Le responsable "lecture" énonce l’une des phrases. Au signal, chacun présente sa main, pour exprimer sa position quant à la phrase énoncée (les responsables “signal“ et “lecture“ participent également).
Chacun prépare sa main sous la table, en fonction du code suivant :
Si les participants expriment des positions différentes ou s’ils considèrent que “ça dépend”, ils nuancent, ils s’expliquent mutuellement.
Il n’y a aucune réponse toute faite à ces affirmations, mais il peut, en revanche, résulter de cette discussion un consensus, une règle, une charte de fonctionnement que chacun s’efforce de respecter.
Pour aller plus loin…
A partir des activités proposées et des échanges, réalise ou améliore la charte de vie de ta section.
Tu trouveras sur la plateforme le Kit conseils, un outil pour t’aider dans cette démarche : https://partage.lesscouts.be/conseil#
SITUATION : Parfois, des scientifiques un peu téméraires se lancent des défis insensés. Que diriez-vous par exemple de réaliser le tour de l’antarctique à pied ! Si ! C’est possible et nos explorateurs vont réaliser cela par équipes. Chaque équipe partira d’une station polaire différente et réalisera son...
Objectif :
Réaliser le tour de l'Antarctique en passant par un maximum de stations polaires.
Description :
SITUATION : Parfois, des scientifiques un peu téméraires se lancent des défis insensés. Que diriez-vous par exemple de réaliser le tour de l’antarctique à pied ! Si ! C’est possible et nos explorateurs vont réaliser cela par équipes. Chaque équipe partira d’une station polaire différente et réalisera son parcours par étape (un peu comme un Paris-Dakar mais en plus froid). A chaque station, l’équipe de scientifique sera mise à l’épreuve soit par l’intermédiaire d’une énigme scientifique ardue posée par les problèmes du froid, soit via une épreuve de force et dextérité.
BUT : Réaliser le tour de l'Antarctique en passant par un maximum de stations polaires.
DÉROULEMENT : Alors comment ça se passe en vrai : Il s’agit d’un jeu de plateau. Le plateau est ici une carte de l’Antarctique fixée sur une caisse en carton ou en frigolite. Sur le pourtour de la carte, on retrouve une quinzaine de punaise de 2 couleurs différentes. Prenons rouge et jaune. Les punaises rouges représentent des stations polaires (dont le nom est aussi noté sur la carte) tandis que les jaunes représentent des personnages errant en Antarctique tels que Manny, Sid, Diego, Scratch, Ellie (là le spectateur averti aura reconnu des personnages d’un film d’animation qui commence par « Ice » et qui termine par « Age »).
Chaque équipe se voit attribuer une couleur de fanion (Ces fanions sont réalisés en collant (papier collant) un rectangle en papier de couleur sur un cure-dent) ainsi qu’une station polaire de départ (sur laquelle elle plante un premier fanion). Chaque équipe est alors envoyée à la station ou le personnage suivant. Toutes les équipes réalisent le tour de l’Antarctique dans le même sens. Les personnages errant sont joués par les animateurs (possibilité d’intervenir plusieurs fois si pas assez d’animateurs) tandis que les stations polaires sont représentées par des enveloppes contenant une énigme scientifique ou une épreuve. Les personnages errants font réaliser une épreuve à l’équipe et en cas de réussite fournissent un fanion de la couleur de l’équipe, fanion qu’ils vont s’empresser de venir planter sur la carte afin de pouvoir passer à l’étape suivante. Dans le cas d’une enveloppe (station polaire), la réponse (l’épreuve) est à fournir (réaliser) au niveau du plateau de jeu. L’animateur présent là aussi fournit un fanion en cas de réussite. Le but est bien évidemment de passer par un maximum de stations polaires afin de réaliser le tour de l’Antarctique.
Contenu des enveloppes : rajoutez vos idées
Épreuves des personnages errants :
REMARQUE : Les déguisements sont bien sûr obligatoires. Tout le monde met son matos de ski. Il faut vraiment donner l’impression qu’on se les gèle.
En bref… Dans cette fiche, les éclaireurs analysent leur rapport au changement, leur faculté d’adaptation face à des changements qu’ils rencontrent au jour le jour. Ils réfléchissent pour eux-mêmes et découvrent la manière dont d’autres le vivent. Étape 1 : Jeu des 7 changements (15 minutes) Que ce...
Objectif :
• Réfléchir individuellement à son rapport au changement • Échanger avec les autres pour comprendre comment les autres vivent le changement et favoriser l’empathie
Description :
En bref…
Dans cette fiche, les éclaireurs analysent leur rapport au changement, leur faculté d’adaptation face à des changements qu’ils rencontrent au jour le jour. Ils réfléchissent pour eux-mêmes et découvrent la manière dont d’autres le vivent.
Étape 1 : Jeu des 7 changements (15 minutes)
Que ce soit les personnes, les bâtiments, les traditions…, nous vivons dans une société en mouvement perpétuel. Dans cette étape, la troupe analyse ce qui change dans le monde extérieur.
Nous te proposons une série d’images en annexe 1 ; tu peux aussi sélectionner des photos, des cartes postales de ton quartier en réalisant une recherche sur avant/après (exemple : une photo du local en scout en 1980 et une photo d’aujourd’hui, toutes deux prises depuis le même endroit). Tu peux également demander à tes éclaireurs de venir avec une photo d’eux quand ils avaient 5 ans et une photo d’eux aujourd’hui.
Réalise une course-relai avec les scouts : forme des équipes (patrouilles ou autre) et distribue une ou plusieurs images du passé à chaque éclaireur dans chaque équipe. Au top, les éclaireurs doivent déposer la photo qu’ils ont en main à côté de la photo récente qui est à l’autre bout de la zone de course.
Ensuite, une fois qu’ils estiment avoir associé les paires, un membre du staff les valide ; puis les éclaireurs observent attentivement les paires de photos et tentent de lister sept changements par paire.
Pour info, dans l'annexe 1, les différentes paires représentent des lieux de Bruxelles (1. le boulevard Anspach / 8. le plan d'Etterbeek / 9. la Grand Place / 10. l'Atomium) ou des vedettes (2. Angelina Jolie / 3. Leonardo Di Caprio / 4. Bruce Willis / 5. Natalie Portman / 6. Gérard Depardieu / 7. Emma Watson)
Étape 2 : Et toi ? Tu as beaucoup changé ? (20 minutes)
Dans cette étape, chaque éclaireur peut entrevoir les petits et grands changements qu’il a vécus.
Chaque éclaireur reçoit une feuille qu’il accroche dans son dos. Ensuite, l’ensemble de la troupe circule librement et les éclaireurs doivent écrire, sur le dos de leur camarade, un grand changement bénéfique que cette personne a vécu depuis qu’ils se connaissent.
Tu peux aussi participer à cette activité, bien sûr. Mais surtout, sois particulièrement attentif aux éclaireurs qui ont rejoint l’unité récemment et que les autres connaissent peut-être moins bien…
Lorsque tu sens que l’activité tourne en rond, mets-y un terme.
Les éclaireurs lisent ensuite calmement ce qui a été écrit dans leur dos. S’ils sont d’accord, ils choisissent une information qui les surprend et la lisent à voix haute au reste de la troupe.
Étape 3 : Improvisons ensemble (30 minutes)
Dans cette phase, nous te proposons de vivre et de faire vivre à la troupe des situations de changement fictives. Les éclaireurs devront prendre une position qui ne leur convient peut-être pas. Ils vont devoir défendre un point de vue et avancer un maximum d’arguments pour ou contre ce type de changement, même si cela ne correspond pas à leur façon de penser.
En annexe 2, tu trouveras des fiches d’improvisation sur le changement. Ces cartes sont une proposition de travail : tu peux les adapter en fonction de ce que tu vis avec la troupe. Chaque éclaireur doit prendre part à une situation ; s’il a l’occasion de faire deux fois l’exercice pour jouer un personnage pour et un personnage contre le changement, c’est mieux.
Les improvisations ne doivent pas durer plus de 5 minutes.
Une règle importante en improvisation : on ne peut pas dire un « non » strict sinon on coupe les autres ; il faut, si on est contre, donner une nouvelle idée sur laquelle les autres pourront rebondir.
Une fois que tous les éclaireurs ont tenu un rôle, demande-leur ce qu’ils en ont pensé. Tu peux leur poser des questions comme :
Les éclaireurs lèvent la main pour donner leur avis si tu poses plutôt des questions fermées :
Étape 4 : Notre cadavre exquis (30 minutes)
Organise avec ta section un moment de réflexion sur les activités qu’ils viennent de vivre. Répartis les scouts en groupe de 4 éclaireurs. Chaque groupe reçoit 4 feuilles, chacune comprenant en entête une question :
Chaque éclaireur prend une feuille et répond à la question. Ensuite, il plie la feuille de façon à ce que sa réponse soit cachée, mais en laissant la question visible, et la passe à son voisin. Procède de la même manière jusqu’à ce que chacun ait pu écrire sur les 4 feuilles.
Ensuite, les petits groupes déplient les feuilles une à une, lisent les différentes réponses et en discutent.
Il s'agit d'un croisement entre deux jeux : Le jeu de piste / rally photo: Les équipes doivent se rendre à des endroits d'après une ou des photos de celui-ci. Soit parce que les scouts connaissent les endroits et reconnaissent donc les élèments présent à l'image (la tête de la statue sur la place du village), soit parce que ce...
Objectif :
/
Description :
Il s'agit d'un croisement entre deux jeux :
Le jeu de piste / rally photo: Les équipes doivent se rendre à des endroits d'après une ou des photos de celui-ci. Soit parce que les scouts connaissent les endroits et reconnaissent donc les élèments présent à l'image (la tête de la statue sur la place du village), soit parce que ce sont des endroits connu (maneken piss) et facilement identifiable.
Le Jeu dont vous etes les Héros : Inspiré des livres du même nom, les jeux dont vous êtes le héros proposent une histoire à cheminement multiple : le joueur / l'équipe choisit à diffèrents moments de l'histoire, l'action effectuée et sur base de celle-ci, suivra un chemin de l'histoire ou un autre (selon ses propres choix donc). Le plus souvent, comme dans les livres, on renvoit à des numéros (si vous faite ceci, allez au 12, si vous faites cela, allez au 54)
Le Rally photo dont vous etes le heros se déroule alors comme suit:
Les équipes recoivent un carnet de route avec l'ensemble des photos numerotées et la situation de départ par rapport à laquelle le groupe devra faire un choix. Le choix d'une option donne un numéro correspondant à celui de la photo où se rendre. Là, on trouve un message qui continue l'histoire et propose un nouveaux choix.
On peut aussi à chaque fois donner les photos des endroits possibles avec la nouvelle situation. Dans ce cas, pas de carnet de route, c'est en trouvant le message qu'on obtient les nouvelles photos correspondantes aux nouvelles possibilitées.
On peut aussi décider que les animateurs représenteront les ennemis de l'histoire (orc, agent secret, cannibale) et poursuivent les équipes dans leur déplacement... histoire de pimenter un peu la partie.
Ou alors il peuvent être attrapé pour donner des indications sur une photo difficilement identifiable... Si plusieurs équipes jouent la même histoire, on peut placer aux points de chute des messages diffèrents pour chaque équipe : au même numéro ne correspondent pas les mêmes situations.
Conseil : il vaut mieux que les animateurs gardent un résumé des possibilités d'histoire (arborescence des possibles) pour qu'en cas de disparition d'un message, ils puissent indiquer aux équipes la suite de activités. Et puis si les animateurs poursuivent les équipes cela les renseigne sur les endroits ou pourraient se rendre les équipes ;-)
Notre projet de camp 2019 souhaitait mêler sport, aventure et nature. Le programme de camp s'est distingué en deux parties. La première consistait à travailler pour Ingrid, une femme possédant une maison située à Kvednaflaat, près de Helleland, dans le sud-ouest de la Norvège. Sur place, du travail manuel nous attendait : couper des arbres, couper du bois de chauffage, entretien des sentiers,...
Objectif :
Notre projet de camp 2019 souhaitait mêler sport, aventure et nature. Le rapport “qualité/prix” était dès le départ très important pour nous, scouts et staffs, nous souhaitions que l’énergie dépensée pendant l’année à rassembler le budget camp ne soit pas excessif par rapport à la qualité du camp en lui-même. Réduire les coûts nous a aussi permis de ne pas centrer uniquement les réunions sur des activités lucratives , mais d’introduire d’autres activités/sorties/soupers qui sont tout aussi intéressantes. Il est évident que le trajet en lui-même est le coût le plus important. Nous avons également mis un point d’honneur à ce que chaque scout puisse participer au camp. Nous voulions aussi diminuer un maximum le prix du camp car il existe des frais indirects comme par exemple l’achat de nouveau matériel pour le camping ou la randonnée. Pendant deux semaines, nous avons été livrés à nous-mêmes et affronté la culture norvégienne. Pour tout le poste, il s’agissait de vivre en parfaite autonomie. Tout au long de l’année, nous avons préparé ces deux semaines et avons tenté de penser à tout. Nous avons donc dû prévoir tout notre matériel et notre nourriture pour les jours du camp. Durant, la deuxième semaine du camp nous avons vécu pleinement ce projet car nous dormions dans nos tentes au beau milieu de la nature. Le camping sauvage est autorisé en Norvège pourvu que l’on respecte certaines règles de bienveillance. Dans ce pays, il y a moins de règlements et de lois, il s’agit d’une population qui se repose beaucoup sur la confiance et le respect mutuel. Il est donc logique de respecter cette mentalité qui correspond tout bonnement à celle du scoutisme. Pendant 7 jours, nous avons été forcés de nous détacher de la réalité et de vivre en symbiose avec la nature. Nous étions loin de notre petit confort actuel. Nature, culture et découvertes. La nature est absolument sublime et nous en avons réellement profité pendant 15 jours. Nous avons eu le privilège de nager dans les lacs faire du kayak et gravir des montagnes ! Quelques visites plus culturelles ont également été programmées.
Description :
Notre projet de camp 2019 souhaitait mêler sport, aventure et nature. Le programme de camp s'est distingué en deux parties. La première consistait à travailler pour Ingrid, une femme possédant une maison située à Kvednaflaat, près de Helleland, dans le sud-ouest de la Norvège. Sur place, du travail manuel nous attendait : couper des arbres, couper du bois de chauffage, entretien des sentiers, installer des poteaux de clôture, etc. Ingrid nous a proposé également d’autres activités. Elle nous a enseigné des habilités à tailler le bois ainsi que la permaculture, l’apiculture et même à faire du pain. Sur place, nous dormions dans la maison d’Ingrid. Cette habitation a une capacité de 32 personnes. Il y a également un réfectoire pouvant accueillir 40 couverts, une cuisine, 2 douches et 3 toilettes. Bref tout le confort nécessaire pour bien travailler le lendemain. Après avoir travaillé avec Ingrid durant la matinée plusieurs activités sont proposées : baignade dans le lac, pêche (le lac est réputé pour être fortement fréquenté par les poissons), canoés mis à disposition pour les visiteurs, trek dans les montagnes pour partir à la découverte des lacs cachés ! Cette première partie du camp rentre complètement dans les mots-clés des objectifs de ce camp. Bien entendu, cela reste un camp scout et d’autres activités scoutes étaient prévues comme des veillées ou bien la totémisation et la qualification. Sur place, nous avons également rencontré un autre poste pionniers, celui de Saint-Gérard de Brogne. Nous avons organisé plusieurs activités ensemble pour mieux se connaître et travailler ensemble pour Ingrid. La seconde partie du camp sera quant à elle itinérante. L’objectif était de se fondre dans la nature norvégienne et partir à la découverte de nombreux paysages. Un hike de plusieurs jours pour se retrouver juste entre nous. Cela était l’occasion pour les scouts de vivre proches de la nature et à l’écart du monde. Les journées étaient rythmées par les déplacements et les tâches de la vie quotidienne (cuisine, lessive,…). Loin de notre confort habituel, nous avons appris à contrôler notre consommation et veiller à ne pas gaspiller. Lors de ce hike, plusieurs activités décidées avec les pionniers ont été vécues par le poste. Nous pouvons citer l'ascension du Preikestolen et du kayak à Jorpeland.
Le projet a d'abord débuté par une semaine en autonomie, dans un lieu situé en pleine nature, entouré de magnifiques fjords à perte de vue. Nous avons aidé une femme très sympathique a travailler dans une cabane qu'elle possède, à raison de 3-4h de boulot en matinée, en échange du logement offert. Il y avait possibilité de faire des hikes pour aller voir des points de vue, faire du kayak...
Objectif :
Principalement, visiter le sud de la Norvège, les fjords, les villes principales,... Mais également de découvrir la culture Norvégienne via la rencontre de scouts de la région.
Description :
Le projet a d'abord débuté par une semaine en autonomie, dans un lieu situé en pleine nature, entouré de magnifiques fjords à perte de vue. Nous avons aidé une femme très sympathique a travailler dans une cabane qu'elle possède, à raison de 3-4h de boulot en matinée, en échange du logement offert. Il y avait possibilité de faire des hikes pour aller voir des points de vue, faire du kayak sur un fjord, pêcher, faire de l'apiculture, aider dans sa serre, ... Nous sommes ensuite parti à la rencontre des scouts d'Egersund, qui nous ont accueilli pendant 3 jours dans leur cabane typiquement scoute. Nous avons fait des tours en kayak, visité des lieux improbables, passé des veillées ensemble... Pour clôturer le voyage, nous avons quitté la nature pour visiter tout d'abord une ville portuaire, Stavanger et enfin pendant deux jours, la capitale, Oslo.
Cette prise se fait à deux joueurs. Chaque baladin tient un marqueur avec ses avant-bras à l'air libre. Les baladins jouent dans un espace de jeu limité (un cercle de 2 m de rayon par exemple). Le baladin remporte la partie si son adversaire abandonne, si il arrive à le faire sortir des limites ou si il parvient à le toucher à l'aide son marqueur sur...
Objectif :
/
Description :
Cette prise se fait à deux joueurs. Chaque baladin tient un marqueur avec ses avant-bras à l'air libre. Les baladins jouent dans un espace de jeu limité (un cercle de 2 m de rayon par exemple). Le baladin remporte la partie si son adversaire abandonne, si il arrive à le faire sortir des limites ou si il parvient à le toucher à l'aide son marqueur sur un de ses bras. Variante : La prise de la craie La prise est similaire à la prise du marqueur. Le jeu diffère du fait qu'on utilise une craie pour toucher la chaussure du joueur adverse
Nous avons effectué un voyage de deux semaines en Grèce dans la région de Halkidiki au début de cet été (juillet 2016). Durant la première semaine, nous avons organisé un trek d'une cinquantaine de kilomètres le long de la côte de la mer Égée jusqu’au port de Nikiti. De là, nous avons navigué sur un voilier de 15 mètres pouvant accueillir notre groupe de 11 personnes. Nous avons...
Objectif :
Découverte de la côte grecque et de la navigation à la voile.
Description :
Nous avons effectué un voyage de deux semaines en Grèce dans la région de Halkidiki au début de cet été (juillet 2016). Durant la première semaine, nous avons organisé un trek d'une cinquantaine de kilomètres le long de la côte de la mer Égée jusqu’au port de Nikiti. De là, nous avons navigué sur un voilier de 15 mètres pouvant accueillir notre groupe de 11 personnes. Nous avons ainsi pu découvrir des îles encore vierges de toute trace humaine (île de Kelifos, réserve naturelle de l’île d'Alonissos) ou bien encore des régions vivant à un autre âge que le nôtre (monastères orthodoxes le long du Mont Athos). À bientôt pour de nouvelles aventures !
En amont Deux options : Les animateurs identifient, au préalable, le ou les différents sujets qui pourraient amener de l’incertitude chez les participants. Cela peut être un fait d’actualité (pandémie, attentats, crise économique…) ou lors d’une période de vie qui annonce de grands changements (à la fin...
Objectif :
/
Description :
En amont
Deux options :
L’idéal est de disposer d’un local pour les moments en grand groupe et de différents espaces pour les temps en petits groupes.
Étape 1 : Explication de l’activité (10 minutes)
L’animateur explique que l’objectif de cette animation est de les outiller au mieux pour gérer l’inconfort qu’ils peuvent ressentir devant une incertitude. Cette faculté de tolérance à l’incertitude varie fortement d’une personne à l’autre. Toutefois, plusieurs études ont démontré que des actions peuvent être entreprises pour nous aider à mieux gérer l’incertitude dans notre vie, et plus spécialement dans une période délicate. Pour cela, Jan Ardui (coach et enseignant en PNL) a développé un concept présenté sous forme de trois clés qui se découvrent successivement.
Ensuite, l’animateur présente le ou les sujets identifiés en amont ou demande aux participants de noter les éléments incertains dans leur vie actuellement. Les participants sont alors invités à se regrouper en petits groupes (de maximum 6 personnes) selon la thématique qui leur parle le plus (option 1) ou de manière aléatoire (option 2).
Étape 2 : Regarder l’incertitude en face (30 minutes)
2.1. Découvrir la première clé (grand groupe)
L’animateur propose aux participants de découvrir le nom de la première clé en jouant au pendu : REGARDER L’INCERTITUDE EN FACE.
Une fois le concept trouvé, l’animateur explique qu’il ne faut pas ignorer cette incertitude : l’éluder, la nier ou la fuir ne règlera pas le problème. Cela semble être un conseil facile et pourtant… Accepter cette incertitude nous confronte à nos doutes, les instabilités et toutes les émotions qui vont avec. Se permettre de regarder en face les différentes composantes de cette incertitude est la première clé.
Ensuite, chaque animateur emmène son groupe dans une autre salle/espace.
2.2. Analyser la situation incertaine (petit groupe)
L’animateur invite chaque participant à prendre une dizaine de minutes pour analyser, chacun pour soi, ce qui est incertain au regard du sujet choisi, à court, moyen ou même plus long terme.
Les participants notent leurs principales réflexions sur une feuille qu’ils complèteront au fil de cette animation (annexe 2.1.). Chaque personne fait cela pour elle-même, il n’y a pas lieu de partager ses réponses.
2.3. Repérer ses sensations et son sentiment (petit groupe)
Pour identifier le sentiment et ensuite traduire l’émotion sous-jacente, il est essentiel de permettre à chacun-e de s’arrêter pour écouter son ressenti physique. Pour cela, l’animateur demande aux participants de fermer les yeux et d’inspirer-expirer quelque fois profondément par le nez. Tout en réfléchissant à cette situation incertaine, ils identifient les parties de leurs corps qui se manifestent. Quels sont les endroits les plus tendus ou qui causent de la douleur ? Comment est la respiration ? On peut ressentir une sensation de lourdeur ou de légèreté… On peut avoir des frissons ou des bouffées de chaleurs…
Au bout de quelques minutes, les participants ouvrent les yeux et choisissent le sentiment qui leur convient le mieux à cet instant. Pour cela, une liste (annexe 2.2. ou les cartes sentiments) est affichée ou projetée dans le local. Chaque participant écrit son sentiment sur sa feuille (annexe 2.1.).
2.4. Découvrir l'émotion (petit groupe)
Ensuite, l’animateur projette ou affiche les quatre émotions fondamentales ainsi que les sentiments qui s’y rapportent (annexe 2.3.). En recherchant leur sentiment dans les listes, ils découvrent à quelle émotion il s’y rapporte. Sur leur feuille, ils dessinent l’émoji correspondant à côté de leur sentiment.
2.5. Retour en grand groupe
Les différents groupes se rassemblent dans la salle principale. Quatre feuilles sont disposées au sol, chacune avec un emoji qui représente une émotion (annexe 2.4.). Les participants se placent près de la feuille qui leur correspond. Ceux qui le souhaitent peuvent s’exprimer.
Étape 3 : Être connecté avec ses besoins et ses valeurs (35 minutes)
3.1. Découvrir la deuxième clé (grand groupe)
Avant que chaque petit groupe rejoigne son espace, l’animateur propose de découvrir la deuxième clé. Il explique que celle-ci se base sur deux éléments fondamentaux et que pour les découvrir, il va lire une liste de mots :
L’animateur explique donc que se poser la question “Qu’est-ce qui est important pour moi et de quoi ai-je besoin pour me sentir bien ?” sera la deuxième clé pour mieux gérer l’incertitude. Il est primordial de se rapprocher de ce qui est important pour soi, de se connecter avec ses valeurs profondes et d’identifier ce qui nous permet de nous sentir bien avec nous-mêmes.
3.2. Définir le besoin (petit groupe)
L’animateur propose aux participants de se rappeler l’émotion identifiée précédemment. Que celle-ci soit positive ou négative, elle est liée à un besoin qui est satisfait ou non. Les participants vont donc choisir leur besoin principal qui est comblé ou non. Pour cela, une liste (annexe 2.5. ou cartes des besoins) est projetée ou affichée dans le local.
3.3. Identifier les valeurs (petit groupe)
Les participants réalisent, individuellement, ce test élaboré par le Professeur Schwart, auteur du modèle des valeurs universelles, et son équipe :
http://www.psychomedia.qc.ca/tests/questionnaire-des-valeurs-par-portraits-revise
Chaque participant inscrit sur sa feuille de route le top 3 des valeurs qui sont les plus importantes pour lui. Ceux qui le souhaitent peuvent les partager à l’ensemble du groupe, cet échange peut d’ailleurs donner lieu à de très chouettes découvertes des uns et des autres.
Il est par contre déconseillé d’essayer de hiérarchiser ces valeurs, aucune ne peut prévaloir sur une autre et un tel classement ne pourra jamais être objectif puisque les concepts que l’on met derrière chaque valeur sont liés au vécu de chaque individu (et que ceux-ci sont amenés à évoluer au fil du temps et selon le contexte).
Étape 4 : Créer des choix alignés (20 minutes)
3.1. Découvrir la troisième clé (grand groupe)
De retour dans la grande salle, l’animateur propose de découvrir la troisième clé. Pour cela, les participants vont chercher 20 papiers cachés au préalable dans le local, sur chacun de ceux-ci est inscrit une lettre : CREER DES CHOIX ALIGNES. A eux de remettre les lettres dans l’ordre pour découvrir la troisième clé (pour simplifier cette étape, écrivez les lettres de chaque mot dans une couleur différente).
L’animateur explique que lorsqu’on se trouve dans une période d’incertitude, on a parfois l’impression de ne plus avoir de choix. On se sent victime des circonstances du contexte. Pourtant, malgré cette impression de ne plus avoir de choix, il est très important, au contraire, de se créer des choix, pour soi, pour continuer.
3.2. Déterminer trois actions (grand groupe)
Chaque participant est invité à déterminer trois actions en accord avec les besoins et les valeurs déterminées au préalable et à les inscrire sur sa feuille de route.
Il vaut mieux ne pas obliger les participants à partager le fruit de leurs réflexions, celui-ci peut en
effet se traduire par un choix d’actions très personnelles voire intimes.
Étape 5 : Retour sur l’activité (5 minutes)
Pour clôturer cette activité, chaque participant est invité à partager son état d’esprit suite à cette animation.
Infos pour l’animateur
Le modèle des valeurs universelles développées par le Professeur Schwart est celui que nous avons suivi pour réaliser l’enquête sur la Charte de notre fédération. Son but était d’identifier les valeurs majoritairement portées par les animateurs de notre fédération en vue de redéfinir l’identité de notre fédération. L’enquête a été réalisée en collaboration avec l’UCL.
Étape 1 : Jeu des bonbons (5 min) Matériel nécessaire : un nombre pair de bonbons (ex : 20). Demande à 10 personnes de se porter volontaires. Explique que ces 10 personnes représentent chacune 10% de la population mondiale totale. Demande ensuite à ce que la richesse mondiale totale (tous les bonbons) soit répartie de manière...
Objectif :
Réflexion et débat autour des inégalités présentes dans le monde.
Description :
Étape 1 : Jeu des bonbons (5 min)
Matériel nécessaire : un nombre pair de bonbons (ex : 20).
Demande à 10 personnes de se porter volontaires. Explique que ces 10 personnes représentent chacune 10% de la population mondiale totale. Demande ensuite à ce que la richesse mondiale totale (tous les bonbons) soit répartie de manière réaliste parmi cette population mondiale.
Les participants se tromperont probablement. Explique-leur que les 10% les plus riches de la population mondiale (donc, un participant sur les 10) détiennent 89% de la richesse mondiale (donc, environ 18 bonbons sur les 20). Et plus extrême encore, que les 1% les plus riches possèdent 50% de la richesse mondiale.
Demande aux participants comment ils se sentent au vu de ce résultat. Comment se sent la personne qui possède la plus grosse part ? Et les 9 autres, sont-elles satisfaites de leur part ? Heureusement, il ne s’agit ici que de bonbons, bien que ce ne soit pas amusant non plus. Mais si au lieu de bonbons il s’agissait d’eau potable, d’une maison décente, de bons médecins ou de nourriture ? Comment se sentiraient-elles alors ? Le plus riche partagerait-il, ou bien les autres devraient-ils se résoudre à cette situation ?
Étape 2 : Analyse de témoignage et d’étude de cas (40 min)
Durant cette activité, les participants réfléchissent sur des exemples d’inégalité.
Divise le groupe en sous-groupe de 4 personnes et distribue à chaque groupe une fiche avec une étude de cas (annexe 6.1). Demande à tes participants de lire attentivement le recto de la carte et de chercher des réponses aux questions correspondantes. Ils n’ont pas encore le droit de lire le verso.
Après cette phase de lecture et de réflexion, une ou plusieurs personnes du groupe présenteront la situation au reste du groupe. Ils peuvent le faire de manière créative : à l’aide de dessins, d’une petite saynète...
Tout le groupe entame ensuite la discussion. Tu peux éventuellement te servir des questions correspondantes pour orienter le débat. En tant que modérateur, tu recentres le débat sur les points essentiels. C’est toi qui choisis à quel moment du débat partager les informations figurant au dos de la fiche : ces informations complémentaires t’aideront à clarifier certains éléments ou à conclure le débat.
Thématiques abordées dans les fiches :
Fiche 1 : Salaires de misère dans le pays le plus riche du monde -> accent sur la notion de travail décent et sur le rôle du syndicat.
Fiche 2 : Apple ne paie pas d’impôts équitables -> accent sur une fiscalité équitable
Fiche 3 : Au Ghana des services de santé défaillants coûtent la vie aux plus pauvres -> accent sur les services publics et plus particulièrement sur les soins de santé.
Fiche 4 : Le pouvoir des pensions en Zambie -> accent sur la sécurité sociale
Fiche 5 : La Grèce, un pays européen aux services de santé médiocres-> accent sur l’impact d’une politique d’austérité
Fiche 6 : Des services de garde d’enfants abordables au Canada -> accent sur les droits des femmes
NB : Chaque fiche présente une situation analogue en Belgique.
Étape 3 : Débat (35 min)
Afin de prolonger la réflexion, organise un débat avec les participants autour de trois affirmations :
Annonce le sujet aux participants et prévois environ 10 minutes de débat par affirmation.
Règle du débat :
Le meilleur moyen de connaître les avis de chacun, c'est de laisser parler tous ceux qui ont envie de s'exprimer. A cet effet, le « micro » sera donné à chacun tour à tour, par les modérateurs, qui veilleront à l'équilibre des débats. Il est demandé à chacun de ne pas couper la parole de ceux qui sont en train de s’exprimer ou de chercher à parler plus fort qu’eux. Celui qui veut s’exprimer, lève la main et attend que les modérateurs lui donnent le « micro » pour parler.
Instructions pour le modérateur :
• Éviter de prendre le rôle d’un participant ou du rapporteur.
• Ne pas intervenir dans le débat, sauf pour le raviver lorsqu’il s’essouffle.
• Prendre la parole que pour expliquer, clarifier ou souligner quelque chose.
• Ne pas donner sa propre opinion ou ne pas juger le point de vue des autres.
• Surveiller l’heure (10 min par affirmation).
Dans l’annexe 6.2, des informations pour l’animateur sont fournies sur chaque affirmation.
Étape 4 : Que pouvons-nous faire ? (10 min)
Que pouvons-nous faire à notre échelle pour diminuer les inégalités dans le monde ? Vous pouvez réfléchir ensemble à des actions de service à entreprendre durant l’année.
Aujourd’hui, près d’un enfant sur trois n’a pas accès à des loisirs pendant ses vacances.
Les vivres non périssables (boites de conserve, farine, riz, pâtes, biscuits, chocolat, boissons, etc.) récoltés profitent à plus de 200 associations et près de 15 000 enfants.
Ces jeunes proviennent d’écoles de devoirs, de maisons de quartier/de jeunes ou encore de maisons d’hébergement… Leurs parents manquent de moyens financiers ou n’ont pas la possibilité de s’en occuper. Ils n’ont donc pas accès à des loisirs durant leurs vacances.
Arc-en-Ciel distribue les vivres récoltés à ces associations. Cela leur permet, ainsi, d’économiser sur leur budget alimentation au profit du budget loisirs.
Au-delà des tonnes de nourriture récoltées, l’opération Arc-en-Ciel est surtout l’occasion de faire passer un message de solidarité et de fraternité aux jeunes.
Infos pour l’animateur
Pour réaliser une activité spécifiquement sur l’action de service, consulte la Fiche 6 « C’est gratuit ma p’tite dame ».
Tout au long de l'année, du matériel scolaire de seconde main est récolté au profit de l'asbl. Vous pouvez apporter votre aide durant l'été en participant au tri de ce matériel et à la préparation de la bourse organisée à la rentrée scolaire. Cette bourse au matériel scolaire est destinée...
Objectif :
Vous aidez les permanent-e-s de l'asbl E&C à préparer la bourse de matériel scolaire organisée à la rentrée, en participant au tri de ce matériel.
Description :
Tout au long de l'année, du matériel scolaire de seconde main est récolté au profit de l'asbl. Vous pouvez apporter votre aide durant l'été en participant au tri de ce matériel et à la préparation de la bourse organisée à la rentrée scolaire. Cette bourse au matériel scolaire est destinée aux familles précarisées des quartiers de Forest, Saint-Gilles et des environs.
Pour aller plus loin, vous pouvez également participer à la récolte du matériel scolaire et à sa distribution le jour de la bourse au matériel. Pour plus d'infos, consutez les autres projets de ce partenaire.
Attentes des volontaires :
Il est attendu des volontaires du bon sens et de la patience !
Accompagnement pédagogique prévu :
Un-e permanent-e de l'asbl est disponible pour venir présenter le projet global de E&C et présenter les différentes actions portées par l'asbl ainsi que leurs enjeux.
Vous avez également l'occasion de rencontrer et d'échanger avec les bénéficiaires de l'action en étant présent le jour de la bourse.
Une premier animateur est le critique d'art. Une second animateur est le modèle. Un scout est l'artiste. Les autres scouts sont les médiums : la pierre, le bronze ou le bois à sculpter. On bande les yeux des médiums. Lorsque les médiums sont aveugles, le modèle prend la pose (loufoque de préférence). L'artiste décrit...
Objectif :
/
Description :
Une premier animateur est le critique d'art. Une second animateur est le modèle. Un scout est l'artiste. Les autres scouts sont les médiums : la pierre, le bronze ou le bois à sculpter.
Accessoirement, on obtient aussi des postures rigolotes et des écarts étonnants...
Pièce en 3 actes, la scène se déroule dans la ville, le village, le quartier. Acte I Introduction C'est la fête du village, seulement, les plombs ont sauté et, dans l'obscurité les paysan(ne)s ne retrouvent plus leurs conjoints et leurs enfants. Fonctionnement Chaque villageois possède une carte d'identité avec photo,...
Objectif :
/
Description :
Pièce en 3 actes, la scène se déroule dans la ville, le village, le quartier.
Acte I
Introduction
C'est la fête du village, seulement, les plombs ont sauté et, dans l'obscurité les paysan(ne)s ne retrouvent plus leurs conjoints et leurs enfants.
Fonctionnement
Chaque villageois possède une carte d'identité avec photo, taille-poids, loisirs, gouts amoureux...
ex: Marcel, 1m70, 80kgs, aime lire la gazette, aime les femmes bien en chair. (Quelle chance! La Marie, sa future femme pèse 150 kgs)
Le mari a des indications pour retrouver sa femme, la femme pour retrouver ses enfants, et les enfants pour retrouver leur père.
Chaque paricipant mémorise cette mini carte d'identité.
Les participants ont ensuite les yeux bandés et ils se promènent sur la place. Quand ils touchent quelqu'un, ils se murmurent quelque chose, à l'oreille (ex: Mon papa a une grosse moustache.) Si ils sont de la même famille, ils continuent le jeu ensemble.
L'acte I un se termine lorsque les familles sont reconstituées.
Acte II
Chaque famille part avec un chef qui leur indique un endroit pour y construire une ferme. Il veillera à ce que chaque ferme soit située à même distance d'un point d'eau et du point central du jeu: le marché.
La famille se construit une petite ferme en jardin japonais. Puis, les animateurs passent dans les différentes fermes pour expliquer le foncionnement du jeu (compter 10 minutes par équipe).
Acte III
Accrochez vous bien, ca devient compliqué ;-)
Intro
Chaque ferme va pouvoir produire de la viande de boeuf, ainsi que du blé.
La production sera vendue au marché. Attention aux voisins jaloux de votre production !
1/ La production
Pour produire, il faut un champ de départ et un entretien saisonier. Le champ de départ (champ de blé, ou pature pour les vaches), peut être acheté au marché (cfr infra).
L'entretien saisonier :
- Pour le blé il faut de l'eau. Chaque ferme a une bouteille d'eau percée qui doit contenir de l'eau en permanence.
- Pour les vaches, il faut en permanence une unité de fourage par paturâge. (Le paturâge est disponible au marché pour 1€)
Dame nature (un animateur) passe dans les équipes pour vérifier que le blé a de l'eau, et les vaches du fourrage. Si c'est le cas, elle leur donne une unité de blé/viande de vache par champ de blé/pature à vache.
Un passage de dame nature dans toutes les équipes = 1 saison. Un an = 4 saisons.
2/ Ach! Sapotache!!!
On peut empêcher les autres fermes de produire en privant celles-ci d'eau et de fourrage.
- Chaque équipe dispose d'un gobelet pour remplir le reservoir d'eau pour le blé. Tandis qu'un porteur d'eau va en chercher à la rivière, attention, il peut être attaqué.
Si l'attaquant le touche, le porteur d'eau dépose son gobelet. Prise quelconque fixée à l'avance. Si l'attaquant gagne, il renverse l'eau; si il perd, il retourne à son camp.
- Pour ne pas abîmer la jolie ferme, personne ne peut y entrer au pas de charge. Pour qu'un saboteur puisse y pénetrer, il doit toucher un arbre marqué d'un foulard à 5-6m de la ferme sans se faire toucher (sinon, prise x ou y). S'il y parvient, il peut dérober à la ferme une unité de fourrage.
3/Le marché
Le point le plus compliqué.
Au marché, on peut acheter des pâtures, des champs, du fourrage et vendre sa production.
L'achat des champs de blé se fait à la criée, le marchand annonce un prix qui baisse de plus en plus. Il faut acheter pour pas trop cher, mais avant que les autres ne le fassent. Attention, il n'y en a pas pour tout le monde. (ex: pour 3 équipes, on vend 2 champs et 2 patures.).
Le prix de base est de 15€. Attention la durée de vie d'un champ de blé est de deux ans. (règle facultative: pas de production de blé en hiver)
Pour les pâtures, on fait une enchere. Le prix de base est de 30€, et une pature dure 4 ans.
Pour la vente, le marché fixe un prix (ex:8€ par unité de production de vaches ou de blé) et on achète toute la production. Eventuellement, pénalités pour les tricheurs.
Pour aller plus loin...
On peut mêttre des maladies comme la vâche folle, varier les prix,...
Le carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel...
Le carnet de soins est un cahier où sont répertoriés l’ensemble des soins donnés à chaque jeune, ainsi que le jour et l’heure du soin. Il constitue un outil essentiel pour pouvoir communiquer aux parents et au sein de l’équipe d’encadrement à propos de l’état du jeune et/ou à propos d’un éventuel accident.
Télécharger