Position tabac
Bibliothèque![Annexe_Position_tabac.pdf](https://grenier.lesscouts.be/previews/2022/4/6224/page_0.jpg)
...
1465 résultats ont été trouvés pour votre recherche
...
POSITION FÉDÉRALE SUR LE TABAC ET LES PRODUITS DÉRIVÉS DU TABAC
La position est accompagnée de deux contenus pratiques :
• Un dispositif pour construire des règles de vie pour le groupe autour du tabac, acceptables pour chacun.
• Des conseils sur la gestion d’un espace fumeur dans les activités scoutes, de section et d’unité.
Télécharger- Nous n'avons préétabli aucun réel itinéraire. Etant donné que nous n'avions ni voiture ni intendant nous n'avons pu prévoir un tel parcours. Cependant je maîtrisais la carte des Pays-Bas et savais que nous comptions longer la mer histoire d'avoir un pied sur la plage à n'importe quel moment. Pour cela c'est très simple, il suffit de suivre la " LF1 Noordzeeroute", très facile à suivre,...
Objectif :
Atteindre Amsterdam en vélo.
Description :
- Nous n'avons préétabli aucun réel itinéraire. Etant donné que nous n'avions ni voiture ni intendant nous n'avons pu prévoir un tel parcours. Cependant je maîtrisais la carte des Pays-Bas et savais que nous comptions longer la mer histoire d'avoir un pied sur la plage à n'importe quel moment. Pour cela c'est très simple, il suffit de suivre la " LF1 Noordzeeroute", très facile à suivre, spécieusement pour les vélos et parfaitement balisée jusqu'à la frontière danoise. - Nous somme partis de Bruges afin d'éviter les sombres routes wallonnes au combien insatisfaisantes et d'atteindre au plus vite la "Noordzeeroute" qui parcourt la ville. Par la suite, afin de tricher un petit peu, nous avons parcouru Den Haag (La Haye) - Breda en train (prix : 6€/vélo + 12€/tête). Le prix nous a semblé +/- élevé mais la facilité nous réconforte. Les 19 vélos et 19 scouts entrent dans le train sans trop de contraintes. - Nous sommes entrés au soit-disant "plus grand centre aquatique du Bénélux" à Wassenaer, non loin de La Haye. Une journée plage avec un soleil digne d'Espagne. Et bien entendu une sensationnelle journée sur Amsterdam. Voila pour les journées plus spéciales bien qu'elles ne fussent pas exactement les meilleures. Nos impressions: Sensation d'indépendance totale, un camp sans voiture est jouable. Les Pays-Bas sont un pays à part. On recommande vivement la LF1 "Noordzeeroute" ainsi que les nombreux "Scouts Centrum Labelterrein" tel que celui de Naaldenveld (http://www.naaldenveld.nl/) proche d'Amsterdam, camping génial à prix démocratique pour tous scouts avec rencontres certaines à la clé. En tout cas ce camp, s'est très bien déroulé, beaucoup de bons souvenirs, aucun jour de pluie, beaucoup d'amis. Au final très peu de galères techniques. Je recommande réellement ce genre de camp pour ceux qui kiffent le vélo. La Hollande est le pays-roi. Faites un minimum attention à vos lieux de campings : selon les régions les prix évoluent rapidement ( de 5 € à 15€ la nuit par personne selon les régions). Il me reste peut-être à dire que le scoutisme n'est pas spécialement bien accueilli en Hollande, en tout cas avec peu d'enthousiasme.
Rendre conscient les animateurs de l'importance des moments de passage et de l'accueil des nouveaux dans leur section. Coordonner, en conseil d'unité, le ou les moments de passage.
Rendre conscient les animateurs de l'importance des moments de passage et de l'accueil des nouveaux dans leur section. Coordonner, en conseil d'unité, le ou les moments de passage.
TéléchargerPour faire prendre conscience aux animateurs de leur rôle dans le développement spirituel des scouts. Permettre de réduire les freins que pourraient susciter l'organisation des activités spirituelles.
Pour faire prendre conscience aux animateurs de leur rôle dans le développement spirituel des scouts. Permettre de réduire les freins que pourraient susciter l'organisation des activités spirituelles.
TéléchargerNous avons choisi, pour notre projet de camp 2016, d'effectuer un camp itinérant à travers la Pologne. Nous avons fixé 5 étapes : Cracovie, Zakopane, Varsovie, Ketrzyn et Gdansk Ce camp itinérant s'est fait en transports en communs. Nous avons pris l'avion pour aller jusque là (prix abordables si on s'y prend assez tôt), et à l'intérieur du pays les trajets sont très aisés (et peu chers...
Objectif :
- Découverte d'un autre pays, d'une autre culture - Rencontre avec des locaux - Visites spécifiques ayant pour but la réflexion et l'ouverture d'esprit (Auschwitz, Centre Européen Solidarnosc à Gdansk) - Découvertes de sites historiques (Varsovie, Cracovie, Gdansk, Tanière du Loup à Ketrzyn) - Nature (montagnes à Zakopane, mer à Sopot) - Amusement et dépaysement !
Description :
Nous avons choisi, pour notre projet de camp 2016, d'effectuer un camp itinérant à travers la Pologne. Nous avons fixé 5 étapes : Cracovie, Zakopane, Varsovie, Ketrzyn et Gdansk Ce camp itinérant s'est fait en transports en communs. Nous avons pris l'avion pour aller jusque là (prix abordables si on s'y prend assez tôt), et à l'intérieur du pays les trajets sont très aisés (et peu chers !) grâce aux nombreuses lignes d'autocar qui sillonnent le pays. Pas besoin de réserver longtemps à l'avance les trajets intérieurs, il suffit de se présenter à la gare de bus un ou deux jours avant le départ et de prendre ses tickets. Nous avons tout de même loué une camionette Europcar en Belgique afin de transporter notre matériel de camping et d'intendance (conduite par un ou deux animateurs entre chaque étape) Pour dormir, nous utilisions des campings (réserver à l'avance !), il y a en a plusieurs dans chaque ville et très bien situés. Nos étapes et les activités que nous avons réalisées : 1) Cracovie - du 12 au 16 juillet - Visite du centre historique de Cracovie. Petit conseil : ne pas hésiter à y passer la soirée, la ville regorge d'animations et de spectacles de rue en tous genres - Visite des mines de sel de Wieliczka (+/- 15min en bus depuis Cracovie) - Visite des camps de concentration d'Auschwitz et de Birkenau (+/- 1h de trajet depuis Cracovie) 2) Zakopane - du 16 au 19 juillet - Visite de la ville - Randonnées dans le parc national des Tatras (montagnes) : lac Morskie Oko, mont Rysy, etc 3) Varsovie - du 19 au 22 juillet - Visite du centre historique de la ville et d'autres points d'intérêts : parc Lazienki, baignade dans la Vistule (plages aménagées au pied du stade de football), etc. 4) Ketrzyn - du 22 au 24 juillet - Visite de la "Tanière du Loup - Wolfsschanze", le QG principal d'Hitler durant la Seconde Guerre mondiale (lieu relaté dans le célèbre film "Walkyrie"). Le lieu regorge d'histoire, mais c'est aussi un beau dépaysement car il se situe en plein coeur de la forêt polonaise ! Le camping "officiel" du site est top. - Rencontre avec des jeunes polonais - Tour en véhicules militaires réhabilités (en pleine forêt, au milieu des bunkers) 5) Gdansk - du 24 au 29 juillet - Visite du centre historique de Gdansk - Visite du Centre Européen des Solidarités. Gros coup de coeur !! Malgré une thématique historique peu connue (Solidarnosc) par les Pionniers, le musée est tout neuf est très interactif ! Nos pios ont adoré ! (audioguides en français) - Visite du centre ville et plage à la station balnéaire de Sopot, le "Deauville polonais" (c'est là-bas que nous avions notre camping) - Grand jeu avec d'autres scouts belges dans la ville La nourriture est à un prix très abordable. Cependant, on ne trouve pas toujours tous les ingrédients qu'on veut, il faut pouvoir s'adapter ! Les jeunes adultes parlent bien anglais mais attention : les personnes plus âgées ne s'en tiennent souvent qu'à l'allemand et au polonais. Bref, un des meilleurs camps vécu par nos Pionniers (deux ans après, on en parle encore), et un pays qui regorge de mille surprises ! On a qu'une envie, c'est d'y retourner !
Camp avec 2 projets pouvant être séparés. 1 semaine chacun mais sûrement combinable avec une autre acti (rando/visite). 1ere semaine kayak en autonomie dans l'archipel des Kornatis en Croatie. Paysages splendides, chouettes zones de bivouac où il n'y a personne d'autre. Kayaks loués à galeb avanture, 120eu/pers. Sont fournis aussi: matériel pour cuisiner et tentes (à payer mais prix correct)....
Objectif :
Semaine en Croatie: aventure, sport, découverte, autonomie Semaine en Italie: Rencontre locaux, projet constructif = préservation du patrimoine
Description :
Camp avec 2 projets pouvant être séparés. 1 semaine chacun mais sûrement combinable avec une autre acti (rando/visite). 1ere semaine kayak en autonomie dans l'archipel des Kornatis en Croatie. Paysages splendides, chouettes zones de bivouac où il n'y a personne d'autre. Kayaks loués à galeb avanture, 120eu/pers. Sont fournis aussi: matériel pour cuisiner et tentes (à payer mais prix correct). Kayaks de bonne qualité, itinéraire modifiable selon le niveau du groupe. S'il fait beau, super et à conseiller d'office. Problème: les loueurs ne sont pas pros du tout, aucune consigne de sécurité, envoient des groupes inexpérimentés dans des conditions météo compliquées et se retournent contre eux. Etre très prudent par rapport à la météo si on souhaite de faire confiance à cette organisation. 2e semaine en Italie: Reconstruction, entretien d'un petit village antique en Calabre. Encadré par des membres de l'association pro-pentedattilo super sympas. Logement en dur avec qqn qui cuisine pour/avec nous et fait toutes les courses. 150eu/pers nourriture et logement compris! Travail parfois un peu répétitif mais dans un cadre incroyable et bonne ambiance. Travail 3-4h le matin, sieste début d'aprèm et plage ou acti découverte de 16h à 19h. Seuls points négatifs: Comme c'est au milieu de nulle part, forte dépendance aux accompagnants qui ont des vans 8 places pour nous emmener, par ex pas vraiment possible d'aller en ville faire la fête un soir du coup. De manière générale, pas vraiment possible de faire la fête car réveil à 6h45 pour le travail. Vraiment chouette, à combiner avec une semaine où on est un peu plus "libres".
Comment trouver un local ? Quid du bail, de la mise à disposition, de la sécurité ? Retrouve toutes ces informations et des tas d’autres dans le cahier Le local d’unité.
Comment trouver un local ? Quid du bail, de la mise à disposition, de la sécurité ? Retrouve toutes ces informations et des tas d’autres dans le cahier Le local d’unité.
Télécharger1. Volontariat dans un refuge pour ours orphelins à Kuterevo. Du 16.07.2011 au 31.07.2011 Conseils à donner aux autres postes qui souhaitent vivre ce projet La partie itinérante s'est passé nickel, comme on le voulait. La partie sur place en Croatie s'est d'ailleurs aussi très bien passée en gros. Le travail physique sur place n'était pas toujours très divertissant (déplacer et casser...
Objectif :
Le but de ce camp était d'aller jusqu'en Croatie passer une semaine à aider dans une association qui s'occupe d'ours orphelins qui sont donc incapables de survivre seul dans la nature dans le but à la fois de participer à la fois à un chantier "plus physique" mais à la fois de rencontrer la population croate. Et sur la route d'aller et de retour du camp de pouvoir visiter d'autres villes d'Europe.
Description :
1. Volontariat dans un refuge pour ours orphelins à Kuterevo. Du 16.07.2011 au 31.07.2011 Conseils à donner aux autres postes qui souhaitent vivre ce projet La partie itinérante s'est passé nickel, comme on le voulait. La partie sur place en Croatie s'est d'ailleurs aussi très bien passée en gros. Le travail physique sur place n'était pas toujours très divertissant (déplacer et casser des grosses pierres quelques jours) mais après on a été demander pour pouvoir varier entre les tâches et on a accédé à notre demande sans problème. Nous avons aussi rencontré d'autres pis de Belgique sur place. Apparemment destination très prisée par nos pis belges ce qui était bien chouette. Là-bas nous avons aussi eu l'occasion de créer des petites animations pour les enfants du coin lors d'un festival local.
Notre projet de camp 2017 souhaite mêler nature, sport et découverte. Voir la vidéo du camp : https://www.youtube.com/watch?v=OSkpOmIRBVc&feature=youtu.be Le programme de camp se distingue en deux parties. La première consiste en un camp itinérant en train à travers l'Allemagne, le Danemark et la Suède grâce à un Global Pass Interrail nous permettant de voyager 7 jours sur une durée...
Objectif :
1) Le "rapport qualité/prix". Il était dès le départ important pour nous, scouts et staff, que l'énergie dépensée pendant l'année à rassembler le budget camp ne soit pas excessive par rapport à la qualité du camp lui-même. Réduire les coûts nous a aussi permis de ne pas centrer les réunions de l'année sur des activités lucratives, mais d'introduire d'autres activités qui nous paraissaient à tous plus intéressantes : week-end poste, explorations, réunions jeux, sorties/excursions, soupers poste, etc. Nous avons donc mené des réflexions sur différents aspects du camp (activités, transports,...) afin de réduire au maximum les coûts tout en gardant un programme qui nous intéresse et en rentabilisant un maximum les dépenses. Le trajet en lui-même représentant un coût important, nous devions faire en sorte que celui-ci apporte vraiment quelque chose au camp, qu'il soit rentable. 2) Le voyage en train. Il nous semble essentiel de donner un sens au fait de partir "loin", qui ne doit pas devenir un but en soi. Partir à l'étranger représente en effet un certain effort tant au niveau financier qu'au niveau de l'organisation et de la logistique. Dès lors il était hors de question pour nous de partir au bout du monde si nous n'en retirions pas beaucoup plus qu'un camp en Belgique. C'est pourquoi l'idée de voyager en train et faire que trajet lui-même soit partie intégrante du camp nous a tout de suite séduits. Le voyage en train est certainement plus long qu'un voyage en avion, mais il est aussi bien plus écologique, économique, flexible et nous donne une grande sensation de liberté. Symboliquement il nous a aussi permis de vivre ce camp comme une "retraite" par rapport à notre vie quotidienne. Traverser les paysages pendant plusieurs heures, monter à bord d'un train "couchette", puis d'un ferry pour traverser la Baltique auront au final été de chouettes moments de partage et de fun. Le train apporte aussi son lot d'avantages pratiques : moins de contraintes au niveau des bagages, grande flexibilité qui permet d'organiser les détails du camp au fur et à mesure de l'année, les animateurs ne prennent pas la responsabilité de prendre le volant (ce qui est aussi rassurant pour les parents) et "subissent" donc le même voyage que les scouts (ne sont pas plus fatigués qu'eux), etc. C'est aussi le fait de voyager en train qui nous a permis d'inclure les étapes à Berlin et Copenhague dans le programme de camp. 3) La vie en autonomie. Nous avons fait une randonnée en canoë de 100km en 7jours via le centre Sandvikengården à Edane, Suède. Pour cette partie, nous avions donc du prévoir notre nourriture pour 7 jours dans nos sacs, ainsi que tout notre matériel. Nous nous installions le soir sur des petites iles sur les lacs, où nous montions nos tentes pour passer la nuit, allumions un petit feu de camp pour cuisiner puis pour nous retrouver le soir. Le camping "sauvage" est autorisé en Suède, pourvu que l'on respecte certaines règles, concernant notamment le respect de la nature et des habitants. La mentalité du pays de manière générale repose beaucoup sur la confiance et le respect mutuel : il y a moins de "règlements" et de "contraintes" qu'en Belgique mais il va de soi que l'on doit respecter l'environnement et laisser la nature où nous nous installons dans l'état dans lequel nous l'avons trouvée. Durant 7 jours, nous étions en quelques sortes "coupés du monde", même si nous croisions régulièrement quelques habitations ou petits villages. Nous avons donc du utiliser quelques techniques pour vivre dans la nature : filtrer l'eau, cuisiner sur du feu, nous avons même fabriqué notre propre pain dans un four à pain que nous avons construit. Nous étions par ailleurs limités dans le matériel et la quantité de nourriture que nous emportions, mais aussi pour tout ce qui est batterie de téléphone, musique, lampes, etc. Nous étions ainsi forcés de nous concentrer sur l'essentiel et de nous détacher de notre confort quotidien. Cela nous a permis de prendre mesure du confort auquel nous avons habituellement accès, de nous rendre compte qu'on peut tout à fait se passer de choses qui nous semblaient pourtant importantes, et nous rendre compte qu'on peut vivre heureux avec peu de choses. Cela nous a aussi démontré l'importance des valeurs scoutes telles que l'entraide, la solidarité, le partage, le fait de ne rien gaspiller, l'amitié, la motivation. 4) L'engagement. Nous avons organisé plusieurs activités de différents types (jeux, ateliers, activités de réflexions) ponctuellement pendant tout le camp en vue de préparer l'engagement et afin que la cérémonie de l'engagement termine en apothéose notre randonnée en canoë. Il nous a semblé important de faire de l'engagement un moment solennel et nous avons donc souhaité apporter un soin tout particulier à la mise en place de cette activité lors du camp. 5) Nature, culture et découvertes. La nature est absolument sublime et nous en avons réellement pris plein les yeux pendant 7 jours en Värmland. Nous avons vraiment vécu comme un privilège le fait de pouvoir nager dans ces lacs, dormir sur ces îles et pagayer à travers ces paysages à couper le souffle. Les étapes dans les villes ont parfaitement complété le programme du camp avec des moments de détente et quelques découvertes culturelles. Dossier de camp complet dispo sur demande : [email protected]
Description :
Notre projet de camp 2017 souhaite mêler nature, sport et découverte. Voir la vidéo du camp : https://www.youtube.com/watch?v=OSkpOmIRBVc&feature=youtu.be Le programme de camp se distingue en deux parties. La première consiste en un camp itinérant en train à travers l'Allemagne, le Danemark et la Suède grâce à un Global Pass Interrail nous permettant de voyager 7 jours sur une durée d’un mois. Lors des différentes étapes sur le trajet, le logement se fait en auberge de jeunesse. Le trajet aller et retour depuis et vers la Belgique est compris dans ce voyage. Pour continuer notre voyage, nous traverserons la Baltique à bord d'un ferry, en prenant un train de nuit ("couchettes") reliant directement Berlin à la Suède. La seconde partie est une randonnée en canoë de 7 jours sur les lacs dans la région de Värmland, Suède. Nous louerons les canoës dans un centre spécialisé et serons donc reliés à ce centre pour cette activité. Cette partie sera vécue en autonomie totale ou presque, où nous retrouverons un confort « basique » et vivrons proches de la nature. Nous transporterons notre nourriture que nous cuisinerons sur feu de bois/réchauds. Le logement pendant cette partie sera sous tentes au bord des lacs, en pleine nature. Le camping « sauvage » est autorisé en Suède, avec quelques règles à respecter, l’endroit est prévu pour. Le moyen de déplacement principal depuis la Belgique est donc le train et éventuellement d’autres transports en commun dans les villes. Le voyage en train prend tout son sens lorsqu’il prend une certaine valeur symbolique : plus que de simplement « partir à l'étranger », nous essayerons avec ce camp de vivre une sorte de « retraite » par rapport à notre vie quotidienne. Lors de la partie "canoë", les scouts auront l’occasion de vivre proches de la nature et à l’écart du monde. Les journées seront rythmées par les déplacements en canoë et les tâches de la vie quotidienne (cuisine sur feu de bois,...). Loin de notre confort habituel, nous apprendrons à contrôler notre consommation (nourriture, batterie de gsm et appareils électroniques,...) et à réfléchir sur la manière dont nous consommons dans notre vie quotidienne lorsque nous avons accès à toutes les ressources possibles. Ce voyage peut être vécu comme une sorte de « retraite » et nous pourrons vivre au mieux les valeurs scoutes : « Le scout sourit et chante même dans les difficultés » « fait tout de son mieux » « partage et ne gaspille rien » « découvre et respecte la nature » « est solidaire et frère de tous », etc... Des activités telles que des petits jeux ou des veillées seront organisées et animées par les animateurs ou les scouts eux-mêmes. Le camp sera complété, en fonction du budget, par des journées de détente et de visites culturelles dans les villes se situant sur notre trajet en train : Berlin, Copenhague, Hambourg. Programme détaillé et dossier camp complet disponibles sur demande : [email protected] vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=OSkpOmIRBVc&feature=youtu.be
Dans le but de casser la routine d’un camp en deux parties (humanitaire et culturel), nous nous sommes lancés un pari fou, faire un camp itinérant avec comme seul support notre matériel et la débrouillardise légendaire du scout. Une personne m’a dit un jour qu’il faut laisser une place à l’imprévu quand il pointe son nez, nous ne savions pas que les imprévus étaient nombreux sur le...
Objectif :
Le but principal de notre projet était de sortir des sentiers battus et de casser la routine des camps pionniers de notre unité. Nous voulions mettre la débrouillardise en plein cœur de notre projet et faire vivre un camp quasiment autonome mais aussi itinérant à nos Pios. La tortue plutôt que le lièvre Plutôt que de courir un peu partout pour voir le plus de choses possibles, nous avons sélectionné les choses que nous voulions voir et faire. Nous savions que le camp allait être fort épuisant tant au niveau physique qu’au niveau mental et donc il paraissait logique d’insérer entre les parties découverte, trek, canoë, jeux, culture, etc, des moments de détente. Du train et encore du train … Nous avons réfléchi lors de la préparation de notre projet à un moyen de transport économique et écologique. Le train semblait être une très bonne alternative. Cependant, partant assez loin, le train a occupé une bonne partie de notre camp et donc, nous avons décidé qu’il fasse entièrement partie de notre projet. Le train nous apportait aussi un sentiment de liberté et ne nous posait presque aucun problème au niveau des bagages. De plus, les animateurs ne devaient pas prendre la responsabilité de prendre le volant et donc le staff a vécu le même camp que les animés. Pour ce faire, nous avons pris des pass Interrail de 7 jours sur une période de 1 mois. Marche ou nage Ce camp étant le dernier pour l’ensemble du staff, nous voulions le rendre quasiment exceptionnel. Certains souhaitaient réaliser un trek dans les Fjords de la Norvège et d’autres vivre un moment en autonomie dans les lacs suédois. Du coup, après de longs débats, nous avons conclu que l’un c’est bien mais les deux c’est mieux ^^ L’engagement Durant l’engagement, nos pionniers ont eu l’occasion à la fois d’affirmer/réaffirmer leur adhésion aux valeurs de la Loi scoute ainsi que de réfléchir aux actions concrètes qu’ils pourraient poser dans leur vie de jeune adulte. Celui-ci s’est déroulé dans la continuité de la promesse (éclaireurs), ayant aussi pour objectif de leur remémorer celle-ci et de faire un point avec eux sur cet engagement 2-3 ans auparavant.
Description :
Dans le but de casser la routine d’un camp en deux parties (humanitaire et culturel), nous nous sommes lancés un pari fou, faire un camp itinérant avec comme seul support notre matériel et la débrouillardise légendaire du scout. Une personne m’a dit un jour qu’il faut laisser une place à l’imprévu quand il pointe son nez, nous ne savions pas que les imprévus étaient nombreux sur le chemin vers les Pays Scandinaves. Notre aventure commence non pas au Jour-J mais au J-1. Nous sommes donc un jour avant le grand départ, les sacs sont prêts, les documents imprimés, le stress commence à se pointer, etc. Vient alors le premier imprévu du camp, les syndicats de la SNCB décident de prolonger leur grève le samedi 30/06 et donc notre train Welkenraedt-Aachen est annulé. Heureusement, les supers parents de nos animés viennent à notre rescousse et, le soir même, nous en trouvons 5 (nous sommes 19 à partir) pour nous conduire directement à la gare d’Aachen le lendemain matin. Problème résolu, le camp peut bien commencer. Nous démarrons, du coup, de la gare d’Aachen le 30/06 au matin direction Flensburg en Allemagne. Je vous ferais grâce des nombreuses liaisons car nous avons décidé de ne pas prendre de réservations dans les trains. Nous arrivons donc fin d’après-midi à Flensburg et après une petite marche de 5km, le camping. Un fois les tentes montées et quelques petites courses faites, nous mangeons un plat typique du pays qui nous accueille : des hot dogs. Ne nous jugez pas, il fallait économiser nos réserves en gaz. Nous en profitons pour faire un moment de détente afin de présenter le fil rouge de notre camp : La COUPE VIKING !!! Non, aucun rapport avec la coupe du monde qui a lieu en même temps … Le lendemain, nous profitons d’une rare douche chaude avant de rejoindre la gare de Flensburg. Arrivant plein d’entrain et en chantant … oui, je vous jure. Nous bafouillons quelques mots d’allemand au guichet et comprenons que le train vers Copenhague est annulé. Tiens tiens, on dirait du déjà vu ^^ Nous avons néanmoins rejoint Copenhague en fin d’après-midi et ensuite nous avons pris un bus de nuit en direction d’Oslo. A Oslo, nous avons organisé un « Oslo City Game » afin de faire découvrir cette capitale de façon ludique. Nous en avons profité pour traverser le fjord d’Oslo à bord d’un drakkar, qui ressemblait fortement à un ferry, afin de visiter le musée Viking de l’autre côté de la baie. Dans l’après-midi, nous nous sommes rendu à la gare d’Oslo pour prendre un train direction Kongsberg. Cependant, nous n’avions pas encore eu notre imprévu du jour. Du coup, le hasard a mis un feu de foret entre nous et Kongsberg : un fâcheux problème. Ce n’était sans compter sur l’organisation impeccable des norvégiens, qui nous ont mis à disposition un bus afin de faire la liaison Oslo-Kongsberg. Arrivés, nous avons vécu le moment le plus stressant du camp, un moment terrible, qui aurait pu mettre à mal le moral inébranlable de notre groupe, je veux parler du match Belgique-Japon ! L’un ou l’autre membre du poste ont bien failli s’effondrer. Enfin, une fois la Belgique victorieuse, nous avons pris le train de nuit direction les fjords de l’ouest de la Norvège vers Stavanger. Marcher en pleine nature norvégienne s’est montré plus difficile que prévu. Après une longue journée de marche durant laquelle nous nous sommes perdus plusieurs fois, c’est épuisés que nous avons monté nos tentes sur un terrain de golf. C’est à cet endroit que nous avons dû affronter, pour la première fois, un adversaire plus qu’inépuisable, coriace, indéfiniment nombreux et certes redoutable : les moucherons ! Des nuées de moucherons, à en avaler une centaine rien qu’en parlant. Mais soit, nous avons donc monté nos tentes et cohabité le temps d’une soirée avec notre hôte local. Le lendemain, nous sommes repartis et avons découvert notre petit coin de paradis : Preikestolen. Un magnifique lac au bord d’un chemin de randonné très prisé pour son point de vue magnifique. Encore exténués de la veille, nous avons profité de la quiétude du lac pour la journée. En soirée, nous avons fait vivre leur engagement à nos Pios. Ce n’est que le jour suivant que nous nous sommes attaqués à Preikestolen, une marche longue, mais qui valait largement le coup d’œil. En haut, nous avions vue sur un immense fjord et nous en sommes restés bouche bée. Une fois redescendus, nous sommes retournés près du quai du ferry afin de le prendre le lendemain. Nous avons dormi sur une petite île et fait un grand jeu le lendemain matin. Une seconde traversée plus tard, nous avons mis pied, de nouveau, à Stavanger pour reprendre le train de nuit. Mais avant ça, nous ne pouvions pas manquer le match endiablé des Belges contre le Brésil. C’est en mettant une ambiance du feu de dieu que nous quittons Stavanger pour rejoindre Göteborg en Suède. C’est en Suède que commence la seconde partie de notre projet : le mini Drakkar. Je vous l’accorde ça ressemble fortement à des canoés mais la différence est difficile pour des novices. C’est en naviguant pendant 4 jours et 4 nuits que nous découvrons le paradis suédois. Tout en logeant sur différentes iles et passant de lac en lac à la force de nos bras, nous continuons les épreuves de la coupe viking avec certains jeux créés par nos Pios eux-mêmes. Lors de notre aventure, dans les eaux suédoises, nous avons dû braver de la tempête à la sécheresse et aussi 10 petits km pour aller jusqu’à une supérette afin de faire nos courses. C’est le cœur lourd que nous apprenons la défaite de nos diables rouges, rendons nos drakkars, et filons vers la gare pour rejoindre Copenhague. Notre boucle en Scandinavie se finit et nous arrivons dans la capitale danoise. Si nous avions dû négliger la capitale à l’aller, ce ne fut pas le cas au retour. Visites et distractions sont venues ponctuer ce camp qui touchait (déjà) à sa fin. Nous avons dormi deux nuits dans un camping où les propriétaires sont certes rustres mais très accueillants. La dernière journée ressemblait énormément à la première. Du train et encore du train. Comme quoi notre pass interrail fut bien rentabilisé. Nous avons rejoint notre Belgique adorée sans le moindre encombre. C’est donc avec l’esprit rempli de souvenirs et un groupe plus soudé que jamais que nous retrouvons les parents de nos animés sur le quai et que ce camp inoubliable se termine. Remarque : Le plus compliqué durant le trek et le canoë fut notre gestion de la nourriture, et surtout de l’eau. Obtenir de l’eau potable était une de nos préoccupations principales. Nous nous étions finalement procuré des pastilles de chlore, qui donnent un (dés)agréable goût à l’eau traitée. Mais au moins, nous n’allions pas mourir déshydratés ! Nous avons aussi privilégié la nourriture lyophilisée et les pâtes Knorr que nous avions achetées en Belgique afin de ne pas lapider notre budget sur la nourriture.
On doit avoir un groupe d'au moins 10 à 12 personnes et on se place tous en rond. Un animateur lance le Shtât. Le Shtât est une énergie négative qui se transmet seulement lorsque les personnes qui l'ont parlent fort pour s'en départir. Donc, aussitôt que le shtât est sur vous, vous devez le transmettre à quelqu'un d'autre...
Objectif :
Se passer le shtat le plus vite possible entre les participants
Description :
On doit avoir un groupe d'au moins 10 à 12 personnes et on se place tous en rond. Un animateur lance le Shtât. Le Shtât est une énergie négative qui se transmet seulement lorsque les personnes qui l'ont parlent fort pour s'en départir. Donc, aussitôt que le shtât est sur vous, vous devez le transmettre à quelqu'un d'autre le plus vite possible.
Ce qui est bien dans ce jeu, c'est que personne ne perd :)
“Certes, un rêve de beignet, c’est un rêve, pas un beignet. Mais un rêve de voyage, c’est déjà un voyage”. C’est sur cette puissante maxime de Marek Halter que j’ai décidé de vous présenter le saint des camps, le camp qui est à la 42eme ce que la béarnaise est au steak : incontournable, bien que dur à préparer! Je parle bien sûr d’une béarnaise maison, à même titre que...
Objectif :
Notre projet était divisé en 2 parties (2 semaines). Lors de la première semaine, nous étions dans le village de Buciusca (Moldavie) et nous nous occupions des enfants du village avec l'aide de l'association Vent d'est (animation). Lors de la deuxième semaine, nous sommes partis en Roumanie pour randonner quelques jours dans les Carpates puis nous sommes restés quelques jours à Bucarest.
Description :
“Certes, un rêve de beignet, c’est un rêve, pas un beignet. Mais un rêve de voyage, c’est déjà un voyage”. C’est sur cette puissante maxime de Marek Halter que j’ai décidé de vous présenter le saint des camps, le camp qui est à la 42eme ce que la béarnaise est au steak : incontournable, bien que dur à préparer! Je parle bien sûr d’une béarnaise maison, à même titre que je parle d’un camp audacieux, dans une contrée que, je le parie, la moitié de nos lecteurs ne sauront pas placer sur la carte de l’Europe sans faire une erreur d’au moins 500 kilomètres : la Moldavie! Coincée entre deux mastodontes de l’Est (la Roumanie et l’Ukraine), la Moldavie est sans aucun doute un pays plutôt discret, et assez peu fréquenté… Semaine 1 : Buciusca-city, épicentre de nos activités Il aura fallu voler, et puis rouler longtemps, sur des routes plutôt jouettes, pour arriver dans le point de départ de notre voyage : Buciusca. Ce village pour lequel le macadam, l’eau courante et les voitures sont des gadgets pour prudes, avait cependant le phénoménal atout de se trouver devant le Nistrou, un fleuve large et agréable, qui en a sauvé plus d’un de l’insolation : à 14h, on flirtait sans forcer avec du 35°C… Si l’animation avec les enfants a occupé une partie de notre temps, nous en avons profité pour varier les plaisirs! Il y a tout d’abord eu cette petite escapade en kayak, ou devrais-je dire bateau gonflable, ou certains ont transformé leurs essuies en voile. Cet odyssée de… 4 km, nous a permis surtout de visiter le monastère de Tipov, situé au sommet d’une colline, et taillé dans la roche. Bien sûr pour le retour, le chauffeur, un sacré copain du nom de Pavel, a assassiné chacune de nos vertèbres en considérant les chemins accidentés comme des autoroutes à péages. L’autre attraction de cette première semaine a été la visite de la capitale, Chisinau. Entre marché aux fruits, au légumes, à la viande, aux poissons, aux vêtements, il y en a eu pour tous les goûts. C’est aussi dans cette ville que certains ont repris des habitudes de gourmets, à coup de pizza, de durum et de pitta. Quelques quintaux de petits concombres plus tard (le légumes préférés de nos hôtes), l’heure est venue de voler de nos propres ailes. Nous avons alors quitté Buciusca, pour aller butiner les montagnes roumaines. Mais avant ça… J’aimerais bien vous parler de notre soirée de départ. Vous avez connu les Francofolies, vous avez connu Johnny criant “Allumer le feu”, en se faisant accompagner par les feux d’artifice du parc des Princes, vous avez connu Claude parlant d’Alexandrie et de magnolias par centaine. Vous avez aussi connu Jean-Jacques, Nino, et tous les autres que la nation du général de Gaulle a vu grandir. Mais vous n’avez pas connu le Festival de la Chanson Française en Moldavie, dans la légendaire ville de Horodiste! Imaginez la langue de Molière qui s’évade de ces enceintes au fin fond de la Moldavie, avec uniquement des groupes de Pionniers belges présents sur place, et bien sûr les locaux. Tout cet atmosphère bucolique a suscité chez nos pis des comportements de type exceptionnels, vous n’en doutez pas! Ce qui est sûr est que notre groupe a marqué l’histoire de cet événement, en y assurant une ambiance fantastique, même au rangement du lendemain. Les responsables étaient épatés, bravo les petites fourmis! Semaine 2 : balade et repos au pays de Nadia Comaneci Il était désormais l’heure de retourner dans notre Union Européenne, et plus précisément à Salatruc en Roumanie, dans les Carpates. Une randonnée de deux grosses journées nous attendait. Avec des sacs sacrément lourds et un cagnard qui semblait vouloir nous voler l’entièreté de nos molécules d’eau, l’effort a été intense! Heureusement, nous avons été récompensés par de superbes paysages! Il restait alors une étape à ce camp. Après avoir côtoyé les régions les plus perdues de 2 pays pour le peu exotiques, il nous fallait voir la capitale. Bucarest, son quartier historique, son parlement, mais aussi ses thermes! Oui, vous le lisez bien, nous avons fait un petit tour aux thermes, histoire de rendre les aspis tout propres à leurs parents pour le retour. Et puis est arrivée la fin du camp. Mais uniquement celle du camp. Se revoir, on l’a fait, et plutôt deux fois qu’une! Car chaque individu qui formait “l’équipe”, a été une pierre à un édifice aussi beau que varié. Le staff de 4 que nous sommes n’a pas cessé de s’étonner de la solidité, et surtout de la solidarité de ce groupe. Le beau temps a mis la pluie de côté dans nos cœurs, et tout ce que ce groupe faisait avait lieu dans une ambiance de bonne humeur, même quand il s’agissait de nettoyer une prairie toute entière! C’est pourquoi, tous les 4, on aimerait vous remercier, profondément, pour cette année et surtout ces deux semaines, qui nous permettent de quitter la 42e avec une fameuse aventure en plus! Que nos petites fourmis continuent sur cette lancée! Pour le staff, et surtout pour l’équipe, Épagneul (depuis le pays le plus plat d’Europe)
Une source précieuse de réflexion ou d'action à l'attention des cadres locaux et fédéraux qui puiseraient dans ces textes. Rassembler les différences et comprendre leur articulation.
Une source précieuse de réflexion ou d'action à l'attention des cadres locaux et fédéraux qui puiseraient dans ces textes. Rassembler les différences et comprendre leur articulation.
Télécharger