Processus 1 : décision par consensus/élection sans candidat

01 PRÉSENTATION DU MANDAT

L’animateur d’unité décrit la fonction du rôle concerné. Pour cela, il peut se baser sur les paragraphes 10.1 – 10.6 de notre règlement fédéral, reproduits ci-dessus.

ATTENTION : il est probablement utile de déjà donner les 3 dates possibles pour les travaux préparatoires, la mission des délégués et suppléants pour cette année étant essentiellement de participer à l’une de ces journées. DATES : le 5, le 12 ou le 20 février.

02 ÉLECTION

L’animateur d’unité invite chaque participant à remplir un bulletin de vote en indiquant son nom et le nom du membre du conseil d’unité qu’il estime être le plus approprié pour la fonction de délégué (exemple : « Okapi (moi, donc) vote pour Koala (celui que je trouve le plus approprié). »
L’animateur d’unité réceptionne les bulletins.
Pas d’abstention, un seul nominé par feuille et possibilité de se nominer soi-même.
Pas de commentaire, ni discussion à ce moment-là.

03 PARTAGE DES VOTES

L’animateur d’unité lit à voix haute chacun des bulletins (exemple : « Okapi vote pour Koala ») et demande à son auteur (Okapi) la raison de son choix : en quoi la personne qu’il a désignée est la plus appropriée pour remplir le rôle.

L’auteur du bulletin répond en donnant ses raisons. Pas de discussion, pas de réaction, pas d’explication sur le non-choix d’autres membres.

04 CHANGEMENT DES VOTES

L’animateur d’unité permet à chaque participant de changer sa nomination à la lumière des informations nouvelles présentées lors de l’étape précédente. Chaque changement est motivé et l’animateur d’unité prend note de tout changement. Pas de discussion, ni réaction.

05 PROPOSITION

L’animateur compte les voix, puis propose comme candidat la personne ayant récolté le plus de préférences.

En cas d’ex-aequo, l’animateur teste d’abord si l’un des deux candidats a une objection raisonnable à son élection.

06 OBJECTIONS

L’animateur d’unité demande si quelqu’un a une objection à la personne proposée. Cette objection doit être raisonnable, c’est-à-dire motivée par une raison pragmatique (par exemple sur un élément qui atteste que la personne n’a pas une compétence requise et non basée sur une difficulté relationnelle).

La personne proposée parle en dernier. Elle peut par ailleurs avoir elle aussi une objection raisonnable (par exemple : pas libre à aucune des dates proposées pour les travaux de février).

S’il n’y pas d’objection, la personne est élue. 

Le processus est alors recommencé pour le ou la suppléante. Par pragmatisme, les 2 votes peuvent se faire en même temps. Dans ce cas, l’animateur d’unité organise le temps « partage des votes » de la manière la plus efficiente possible.